Le manque de confiance en soi, est une douleur (car c’en est bien une) commune à de (trop) nombreuses personnes, encore à notre époque.
Voire même, le manque de confiance en soi n’a jamais été aussi « en vogue » que depuis que l’Homme n’est plus préoccupé par la satisfaction de ses besoins primaires. Les manifestations et les symptômes de ce manque de confiance en soi tout comme ses conséquences peuvent être très variées.
Jamais au cours de l’Histoire, nous n’avons plus cherché à appartenir à des groupes partageant les mêmes valeurs, jamais nous n’avons plus tenté d’aller de l’avant pour essayer de nous réaliser pleinement dans nos passions…
Quel paradoxe !
Le fait que la majeure partie des gens n’ait plus besoin au début de sa journée de penser au moyen de se nourrir et de se mettre à l’abri, a ouvert un champ immense à la réalisation personnelle et une bonne partie d’entre nous se limite dans la réalisation de tous ses rêves, parce qu’elle ne croit pas en elle.
A travers cet article, nous allons tenter de faire le lien entre les travaux de Charles Darwin et ceux de Carl Jung !
Table of Contents
Le manque de confiance en soi
Qu’entend on par manque de confiance en soi ?
Si l’on se réfère au dictionnaire Larousse, la confiance en soi serait :
« La conscience que l’on a de sa propre valeur et dans laquelle on puise une certaine assurance ».
Cela offre deux pistes possibles pour traduire l’expression « manque de confiance en soi ». Cette carence serait donc liée au fait, d’une part, de ne pas réaliser, de ne pas accepter (« ne pas avoir conscience ») ses propres forces, ses qualités intrinsèques, d’une part.
Mais également, une seconde piste d’analyse, qui partirait du postulat qu’un individu est dénué de qualités (« sa propre valeur »).
Ce n’est pas que l’on ne sait pas qu’on a des points forts, c’est carrément qu’on n’en a pas !
Bien entendu, ceci est entièrement faux et il est important de briser cette hypothèse tout de suite !
Tous les individus ont un potentiel en eux et c’est même la qualité première d’un outil comme le MBTI qui permet de mettre en évidence ces qualités innées.
(image Gerd Altmann)
Comment se manifeste le manque de confiance en soi
Sachant également que la confiance en soi, renvoie à l’aptitude de l’individu pour décider, pour faire des choix et se mettre en action, le « manque de confiance en soi » se traduira inévitablement par une attitude passive de la personne qui subira les événements.
Quand on manque d’assurance, on ne prend pas d’initiative c’est un fait !
Les conséquences directes sont donc l’image que l’on renvoie :
-
Une image de suiveur plus que de meneur (incapacité à affirmer sa personnalité)
-
Un refus des responsabilités (par peur d’échouer et de sortir de sa zone de confort)
-
Le fait de chercher l’ombre plutôt que la lumière (« pour vivre heureux, vivons cachés »),
-
Le fait de ne pas se sentir à sa place au sein d’un groupe, de ne pas se sentir à l’aise
(image Gerd Altmann)
Toutes ces manifestations ne sont pas forcément liées à un manque de confiance en soi, ce n’est pas ce que je dis.
Par contre, une personne n’étant pas sûre d’elle, aura ces traits de caractères, c’est certain !
Le pire dans tout ça, c’est que le manque de confiance en soi, agit comme un cercle vicieux : on n’a pas confiance en soi, donc on se comporte ainsi.
Et en se comportant ainsi, on renforce le manque d’assurance en nous, voire on développe notre timidité. C’est un fait !
Quelles sont les conséquences du manque de confiance en soi ?
La première et pire manifestation d’un manque de confiance en soi est directement liée à l’image qu’on a de soi-même.
Là encore c’est un peu paradoxal, car l’image que l’on porte sur soi-même est aussi à l’origine du problème ! On revient donc au cercle vicieux évoqué précédemment.
Mais quand on parle d’image de soi, on devrait plutôt parler d’estime de soi. L’estime de soi, est précisément la vision qu’a une personne de sa propre valeur. Rien de plus subjectif donc !
Et pourtant chez nombre d’entre nous le fait de manquer de confiance nous fait nous dévaloriser et même refuser les compliments !
Cela dépend de l’angle de vue et non du sujet. C’est un peu comme l’histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide. Les anglo-saxons utilisent le terme de « mindset », qui se traduirait par « configuration de l’esprit ».
On ouvre ici une porte de sortie et on entrevoit déjà une solution !
Apprendre sur soi, apprendre à se connaître pour changer de lunettes et voir le positif là où on ne se focalisait précédemment que sur le négatif.
Qui est Charles DARWIN et en quoi sa théorie peut aider à « soigner » un manque d’assurance ?
Présentation en quelques lignes
Charles Darwin, était un scientifique anglais, naturaliste et paléontologue, connu avant tout pour ses travaux sur l’évolution des êtres vivants qu’il avait exposés dans son ouvrage : « L’origine des espèces ».
Le fondement de sa réflexion était que toutes les espèces vivantes sur la terre se sont adaptées au fil du temps aux contraintes de leur environnement, mais qu’à l’origine elles descendent toutes d’un même (ou de quelques) ancêtre(s).
Outre cette théorie de l’évolution, Darwin est également célèbre et reconnu pour sa théorie sur la sélection naturelle.
Pour faire simple, cette réflexion se base en grande partie sur la génétique et explique que si une race survit dans le temps, c’est certes parce qu’elle a su s’adapter.
« Les espèces qui survivent ne sont pas celles les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements. »
Charles Darwin
Mais si une espèce traverse les âges, c’est également, parce que ses membres les plus forts, les plus rapides, les plus intelligents, dominent, se reproduisent, et transmettent leurs gènes à leur descendance.
Dans une meute de loups par exemple, on parle de mâle Alfa, pour désigner le chef de la meute. Chez les gorilles, il vient un moment où les jeunes désirent affronter le « chef » du groupe pour prendre le contrôle du « harem » et avoir le droit de se reproduire.
Chez de nombreuses autres espèces, comme les lions par exemple, ce sont les femelles qui élèvent les petits car l’instinct des mâles les incite à tuer leurs futurs rivaux potentiels…
Bref, on trouve des illustrations de l’œuvre de Charles Darwin à tous les niveaux de la Nature qui nous entoure.
En quoi cela peut-il être une aide quand on manque de confiance en soi ?
Mais vous allez me dire, quel rapport avec le manque de confiance en soi ? En quoi les travaux de Darwin peuvent m’aider dans le fait de palier mon manque d’assurance ?
Personnellement, je vois une corrélation évidente. Nous pouvons faire un parallèle avec le MBTI, pour faire le lien avec l’œuvre issue des travaux de Carl Jung.
En effet, le Myers Briggs Typing Indicator part du présupposé que nous avons tous un « profil MBTI » qui ne changera pas au cours de notre vie (même si nous pouvons travailler et développer nos fonctions).
Parallèlement à cela, les études ont montré, que la répartition de la population sur les 16 différents profils laissait apparaître quelques constats statistiques évidents :
-
Par exemple que l’INFJ demeure le type le moins fréquent dans la population ;
-
ou que le tempérament NF, des « idéalistes », est plus féminin, à la différence du tempérament NT, des « rationnels » qui lui se compose de plus d’hommes que de femmes ;
-
On pourrait également évoquer le fait que statistiquement, un individu a presque une chance sur deux, de faire partie du tempérament SJ (celui des « gardiens des traditions »).
Et cetera, et cetera…
Bref certaines tendances mathématiques semblent prouver que la « loi de l’évolution », pourrait bien s’appliquer également au MBTI.
Et là où il est très intéressant de mélanger les enseignements de la théorie de Darwin et celle de Carl Jung c’est précisément, que l’on peut affirmer qu’il n’existe pas un profil MBTI meilleur que les autres.
Pourquoi peut-on l’affirmer ? Parce que si c’était le cas, ce « type » aurait écrasé les autres depuis que l’homme est sur terre.
Certes la sur-représentation statistique des SJ (« gardiens des traditions ») au sein de la population, fait que notre Société est construite par eux et pour eux, selon leur mode de pensée et leur logique.
Néanmoins, chaque individu a sa place et il est crucial de le comprendre !
Comment apprendre à se connaître est l’antidote au manque de confiance en soi ?
Savoir que nous avons tous des forces (pas que des faiblesses)
Au risque d’utiliser la caricature (mais c’est pour l’efficacité de la démonstration), la Société a besoin d’écrivains, de peintres et plus généralement d’individus ayant une sensibilité pour l’art (typique du tempérament NF, des « idéalistes »).
Que ferait-on sans hommes et femmes de sciences, sans ces chercheurs à l’esprit cartésien comme le sont les NT (tempérament des « rationnels »).
Et que serait notre monde sans entrepreneurs, sans ces personnes douées pour lancer des projets, pour faire bouger les choses, pour tenter de nouvelles aventures sans se soucier du risque ? Vous aurez reconnu les traits de caractère des SP, « les artisans de projets ».
Sans rentrer dans le détail des caractéristiques des 16 profils, chaque « type » a des forces et des faiblesses, ce sont ses particularités et chacun d’entre eux a une place et un rôle idéal dans la Société… le tout est de découvrir lequel !
Si on a un manque de confiance en soi, c’est très souvent parce qu’on ne sait pas que l’on a de la valeur !
Comme nous l’avons expliqué juste avant dans cet article, la nature crée des dominants et des dominés dans toutes les espèces animales.
Alors certes l’homme est un animal me direz vous ? Oui c’est vrai, mais un « animal intelligent ».
Nous avons généralement la possibilité de nous positionner dans la Société. A quoi bon s’entêter dans un domaine si nos qualités naturelles nous poussent dans une autre direction ?
Je ne dis pas qu’il ne faut pas faire d’effort et se laisser porter par sa nature, mais plutôt qu’il est parfois nécessaire de se poser et de réfléchir sur ses véritables forces.
Posez vous les simples questions : dans quel(s) domaine(s) n’ai je aucune difficulté à évoluer ? Et dans quel(s) milieu(x) la moindre action me demande t-elle une énergie folle ?
La nature étant bien faite, vous arriverez facilement à déterminer pour quelles activités vous êtes « fait(e) », presque paramétré(e)… Alors vous pourrez persévérer dans la bonne direction !
(Image par M. Maggs)
Face à la loi de l’évolution… nous sommes tout petits
Si l’homme part d’une attitude d’humilité en acceptant sa nature profonde il est déjà en route pour gommer son manque de confiance en lui.
Accepter sa nature profonde c’est accepter qu’il ne peut lutter contre certains aspects de sa personnalité.
Que l’on croit en Dieu ou non, il est indiscutable que certaines lois de la Nature sont plus fortes que nous.
Comprendre que si l’homme moderne a progressivement perdu ses poils, c’est parce qu’il en a de moins en moins besoin (en comparaison à l’ère préhistorique).
De même, le fait qu’au cours des millénaires, la taille des bras et des avant-bras se soit raccourcie (à l’inverse des jambes) n’est pas un hasard.
Cette évolution selon les spécialistes, serait directement liée au fait que l’homme est devenu bipède et que de ce fait il ait commencé à courir, nécessitant un meilleur équilibre…
Tout ça pour dire que face à la loi de l’évolution nous sommes bien petits, et que si notre cerveau est paramétré de telle ou telle manière, la meilleure chose qui soit à faire est d’en prendre conscience et de l’accepter.
Albert Einstein (typé comme un INTP), aurait été très malheureux s’il avait voulu être apprécié pour sa sensibilité tel Jean-Paul 2 (typé comme un ENFJ)… Vous devez raisonner de la même manière, et croire en votre potentiel !
La première des tâches à accomplir est d’apprendre à vous connaître et de découvrir les trésors qui sommeillent en vous !
Travailler ses fonctions tertiaire et inférieure pour pallier un manque de confiance en soi
Vous allez peut-être me dire que l’on peut aspirer à une autre existence que celle à laquelle la nature semble nous destiner… Et bien soit !
Même s’il est vrai qu’il sera difficile d’aller à l’encontre de ses préférences psychologiques, en s’orientant vers une carrière scientifique alors qu’on appartient au « tempérament des idéalistes » (les NF) par exemple… Ou bien en cherchant à devenir chef d’entreprise quand on appartient au Tempérament des « gardiens des traditions » (les SJ), et donc par le fait peut à l’aise avec le changement et pas vraiment doué pour développer…
Certes il faut se rendre à l’évidence : cela ne sera pas facile. Mais tout se travaille, et même si vous ne serez jamais plus à l’aise avec votre « fonction inférieure » (c’est à dire la plus immature chez vous) qu’avec votre « fonction dominante » (celle qui est la plus affirmée), il est possible d’évoluer.
Évoluer ne signifie pas se transformer ! Évoluer signifie grandir, compléter sa panoplie, rajouter des cordes à son arc. Et toute cette démarche n’a qu’un but : votre épanouissement !
Car il ne faut jamais oublier qu’un individu épanoui développe immanquablement sa confiance en lui !
En Résumé
En fin de compte, j’espère qu’à travers cet article j’ai réussi à vous faire comprendre que chaque être sur cette planète a un potentiel en lui.
Ce même potentiel lui confère des facilités. Quiconque doute de lui-même se doit d’agir, et doit changer son état d’esprit, vaincre ses peurs, chasser ses pensées négatives et ainsi retrouver confiance.
Si dans cet article j’ai parlé de Charles Darwin, c’est précisément pour invoquer le fait que la Nature est trop bien faite pour décider que certains êtres auront toutes les facilités et d’autres n’ont aucune qualité.
Cessez de subir votre existence ! Il faut croire en vous !
Apprenez à vous connaître, à comprendre jusqu’au langage de votre corps !
C’est par là que tout doit commencer, et pas après pas vous allez découvrir l’incroyable potentiel qui sommeille en vous !
salut Nico, j’adore Darwin étant fan de la Nature et tu le sais bien. Moi je m’interroge sur la confiance en soi. Chacun de nous peut faire un gros travail et arriver à reconnaître ses valeurs ses potentiels mais peut il arriver à avoir une confiance suffisamment grande envers lui pour ne plus succomber à ses doutes lorsqu’on lui renvoie une autre image ?
Merci pour ton commentaire et ta réflexion Florence. Paradoxalement je pense que le doute n’est pas une mauvaise chose… Darwin aurait peut-être dit que ce sont avec la peur des sentiments « de survie » ??? Je vois plus cela comme une façon de se forcer à se poser des questions (et de trouver les bonnes réponses) 😉
Je trouve vraiment ton article très intéressant. Le manque de confiance en soi c’est un sujet que je connais bien et contre lequel je me bas chaque jours, mais je crois que je suis entrain de gagner petit à petit !!!
Je trouve ta référence à Darwin vraiment pertinente et ça m’a fait pensé à un livre audio que j’ai lu récemment qui m’a permis de comprendre beaucoup de chose sur notre évolution et notre société actuelle c’est « Sapiens ». Il est vraiment top ce livre.
Bravo pour ton article, vraiment impressionnant ! 😊
Merci beaucoup pour ton commentaire Maéva 🙂 ! J’avais effectivement entendu parler de ce bouquin à sa sortie (beaucoup de promo il me semle à la radio), je vais voir ça de plus prés 🙂🙂
Merci Nico pour cet article !
Oui chaque profil a sa place et est important dans la société. Il y a aussi les travaux de Meredith Belin sur le management d équipe qui sont intéressants à ce sujet.
Merci pour ton commentaire Astrid ! Je ne connais pas Meredith Belin, je vais regarder, merci de la reco 😉
Ton article m’a vraiment intéressé et je trouve qu’il est bien conçu.
Une définition simplifié que j’aime de l’estime de soi c’est » l’estime de soi c’est l’image que l’on a de soi, et si ce que l’on voit, on l’aime ou pas »
Et pour revenir à l’estime de soi, prendre l’exemple de Darwin est bien vu. En effet Darwin avait très probablement une faible estime de soi, basse qui plus est. Et c’est une des caractéristique des personnes avec une basse estime de soi instable que d’avoir peur d’échouer et peur du regard des autres. Un des point positif (dans certain cas) de cette peur, est de tellement craindre l’échec qu’abandonner une « mission » leur est impossible. Alors ils persévèrent, beaucoup. Et dans le cas de Darwin, le fait d’avoir peur de perdre la face, à sans doute joué dans sa ténacité, surtout à une époque où se genre de théorie était mal vue.
Merci pour ton commentaire Pierre-Favre ! Oh oui clairement il faut replacer Darwin dans son époque pour mieux le comprendre (je ne savais pas qu’il doutait à ce point) et surtout mesurer à quel point son oeuvre est exceptionnelle !!! 😉
Intéressant cette approche. Au final, on y revient toujours « connais-toi toi-même ! » pour évoluer avec tes pleines capacités.
Exactement Valentine ! Merci pour cette réflexion 😉. Nietszche disait « Deviens qui tu es ! » 🙂🙂
« Même s’il est vrai qu’il sera difficile d’aller à l’encontre de ses préférences psychologiques, en s’orientant vers une carrière scientifique alors qu’on appartient au « tempérament des idéalistes » (les NF) par exemple… » ahah en fait non, ça n’avait pas l’air difficile au début 😝 merci pour cet article, je n’aurais pas pensé à relier le MBTI et la théorie de l’évolution. Pourrait-on dire aussi que cette même théorie a « permis » d’avoir moins de dominants et plus de dominés (en manque de confiance en soi) pour faciliter la survie des dominants ? 🤔🧐
Ne me dis pas que tu étais scientifique avant de mal tourner vers un métier à grande dominante artistique 😝😝 ?!?! Merci pour ton commentaire en tous cas, Gabrielle !🙂
Ahah nooon… Juste ingénieur en laboratoire de recherche en biologie/microscopie 😝 le pire, c’est que je crois maintenant que je m’étais auto-persuadée que j’étais du profil MBTI opposé à NF (sans connaître ces profils à l’époque), d’où mon orientation scientifique. Tu penses que c’est possible ça ? Moi je « sens » bien que oui, et que le cerveau a plus d’un tour dans son sac 😀
On admire naturellement ce qu’on est pas ! 😝 Perso, j’avais à 20 ans essayé de me persuadé que j’étais qqun de rationnel (sans connaître le MBTI), genre scientifique… Je suis F dominant ce qui prouve qu’à moins de faire un gros travail sur moi-même, je ne prends aucune de mes décisions avec la logique froide et cohérente d’un scientifique. On rêve tous des qualités que l’on a pas… c’est dingue ça ! 😝😝
Super article! Merci. J’ai bien aimé le fait qu’il y ait une table des matières, ce qui permet de gagner du temps et d’aller à l’essentiel. Intéressantes perspectives dans cet article ! Celle de changer de lunette ou d’angle de vu, me plait particulièrement, surtout à une époque ou ses même lunette sont souvent inconsciemment porter par une majorité des habitants de la planètes, les lunettes des croyances limitantes et du jugement formaté ! Merci pour cet article.
Merci à toi Yanis pour ton commentaire !🙂🙂
La confiance en soi est essentielle à l’épanouissement de la personne.
Je vie au quotidien avec une personne dans cette situation et c’est vrai qu’elle sous estime en permanence son potentiel, ses qualités, ses forces, ses valeurs ajoutés…
Je vais lui partager sans attendre ton article qui, j’en suis sûr, l’intéressera vivement.
Merci !
Merci pour ton message Seb ! Et bien tu peux dire à la personne avec qui tu vis au quotidien d’essayer de faire le « petit test » maison (mon bonus en fait)… Je pense que ça peut l’aider ! Elle va tomber des nues quand elle lira son descriptif et c’est là qu’on prend conscience que ce que l’on prend pour nos « défauts » sont en fait des « points faibles » paramétrés dès le départ ! 🙂
Très instructif et inspirant, merci pour cet article 🙂
Merci pour ton message Arthur 🙂🙂
Chouette article Nico !
Il est très constructif et c’est rassurant de lire que chacun à sa valeur. Même si on ne correspond pas aux traits de personnalité (apparemment) adulés par la majorité.
Héhé ! Bien sur que chacun a de la valeur ! Ce qui est malheureux c’est que certaines personnes se dévalorisent naturellement au lieu de croire en elles à cause de mauvaises rencontres ou d’accidents de la vie… Merci pour ton commentaire en tous cas Martin 🙂
Belle idée de décortiquer la confiance en soi au regard de Darwin… je n’y avais jamais pensé ! Merci pour cet article bien documenté.
Merci pour ces encouragements Anne-Christine 🙂
J’aime bien cet phrase dans ton article : « Évoluer ne signifie pas se transformer ! Évoluer signifie grandir, compléter sa panoplie, rajouter des cordes à son arc. » connaitre sa nature profonde et développer ses bons côtés 🙂
Merci pour ce commentaire Marie 🙂🙂 !
Superbe article ! Tu as raison de mettre le focus sur la confiance en soi. C’est un des fondements pour tout développement. Merci pour ton travail toujours très bien documenté !
Merci beaucoup Détélina ! 🙂🙂
Merci pour cet article, le sommaire est super pratique pour naviguer.
Je suis entièrement d’accord avec toi, nous avons chacun des forces, que l’on ne perçoit pas, en prendre conscience est la première étapes. Après avoir un objectif clair permet d’avancer et de faire sauter d’autres croyances limitantes.
Merci pour ces gentilles remarques Irène. Nous avons tous un potentiel insoupçonné c’est certain !
La confiance en soi ne serait-elle pas liée à l’importance que l’on donne aux regards des autres 🤔