➀ Signification de la Confiance en Soi

Avoir de l’aplomb, dĂ©montrer de l’assurance, faire preuve de conviction
 Les synonymes de la confiance en soi ont tous ce point commun qu’ils renvoient Ă  un Ă©tat d’esprit essentiel Ă  une vie Ă©panouie.

Essentiel car nous en avons toutes et tous besoin au quotidien, que ce soit dans notre vie privée, professionnelle, quand on fait du sport, quand on souhaite un changement dans notre vie ou encore quand on fait des projets.

Je m’arrĂȘte lĂ , mais les situations dans lesquelles deux individus de mĂȘme potentiel, avec les mĂȘmes qualitĂ©s, obtiennent des rĂ©sultats diffĂ©rents, dĂ©pendent trĂšs souvent de leur capacitĂ© Ă  s’affirmer.

La meilleure façon d’apprĂ©hender le niveau d’importance que ce sentiment de sĂ©curitĂ© a, est de se remĂ©morer des pĂ©riodes de notre vie au cours desquelles elle nous a fait dĂ©faut.

Qui n’a jamais Ă©tĂ© pris de doutes dĂšs lors qu’une dĂ©cision importante Ă©tait Ă  prendre ?

Qui n’a jamais tremblĂ© dĂšs lors que l’enjeu Ă©tait plus grand que d’habitude ?

Qui ne s’est jamais montrĂ© fĂ©brile au moment d’effectuer une nouvelle activitĂ© en invoquant (Ă  l’avance) l’Ă©chec assurĂ© sous prĂ©texte que c’Ă©tait « une premiĂšre fois » ?

Et quid de la difficulté à reprendre de confiance en soi quand on est au plus bas ?

Bref, vous l’aurez compris, la raison pour laquelle la notion de confiance en soi est si importante est qu’elle est constamment prĂ©sente dans la vie et que si elle peut dĂ©pendre de dĂ©tails, elle peut avoir une trĂšs grande influence sur notre bonheur et notre Ă©panouissement.

Symbole de la confiance

Que veut dire avoir de l’assurance ?

DĂ©finition de la confiance en soi dans le Larousse

Selon le dictionnaire, cet Ă©tat s’assimile Ă  une forme de « courage qui viendrait de la conscience que l’on a de sa valeur et de sa chance« .

Si l’on accepte cette dĂ©finition comme le postulat de dĂ©part, la bonne nouvelle est que cette foi en soi dĂ©pendrait donc en grande partie de notre propre croyance et ne serait liĂ©e en fin de compte qu’Ă  notre propre intention.

Cela n’a l’air de rien mais c’est un enseignement majeur !

Cela peut se traduire en d’autres termes, par le fait que quelles que soient les Ă©preuves que nous traversons, nous pouvons contenir cette tendance Ă  la dĂ©valorisation. La notion de confiance n’est donc pas un Ă©tat que l’on subit mais bien un Ă©tat sur lequel nous avons la main.

DĂšs lors, partant de ce postulat, vaincre ses doutes et ne plus avoir peur de se tromper est une attitude dont NOUS sommes responsable (et plus victime).

La conviction sur le plan de la psychologie

Sur le plan du MBTI certains profils sont plus fonceurs que les autres, plus sĂ»rs d’eux-mĂȘmes car laissant moins de place aux « questions existentielles » et au doute.

Ce qui est certain c’est que parmi les 16 personnalitĂ©s psychologiques, toutes n’ont pas la mĂȘme façon d’apprĂ©hender les Ă©vĂ©nements de la vie.

A ce stade, si vous ne connaissez pas votre profil MBTI, je ne peux que vous encourager Ă  rĂ©aliser ce petit test (qui n’a rien d’officiel), afin d’essayer d’en savoir plus.

Les 4 profils du tempĂ©rament des « artisans » sont par nature particuliĂšrement entreprenants. C’est par essence le groupe des personnes qui osent se lancer sans avoir peur de l’Ă©chec !

Leur attrait pour les possibilitĂ©s qu’offre chaque situation de leur vie, fait qu’ils ont moins peur des risques… ou qu’ils y pensent moins !

Le meilleure exemple Ă©tait sans doute Winston Churchill (ESTP) et cette citation sur la confiance en soi l’illustre Ă  merveille :

« Agissez comme s’il Ă©tait impossible d’Ă©chouer. »

Winston Churchill

Voir des opportunités dans toutes les difficultés

Que cela fasse appel Ă  l’amour propre de la personne ou Ă  son Ă©go, cela dĂ©note un certain niveau d’assurance !

Par opposition, les profils du tempĂ©rament « idĂ©aliste », les NF, ont une tendance Ă  douter trĂšs facilement. La nature profonde des individus de ce groupe se heurte presque naturellement Ă  l’esprit pragmatique et orientĂ© efficacitĂ© de notre SociĂ©tĂ©.

Le fait d’Ă©voluer dans un carcan qui bride leur crĂ©ativitĂ© et leur Ăąme d’artiste, n’arrange rien. C’est prĂ©cisĂ©ment ce dĂ©calage qui les incite Ă  se dĂ©valoriser et Ă  avoir du mal Ă  s’affirmer tels qu’ils sont.

Pour reprendre confiance, attĂ©nuer ses peurs et parvenir Ă  ĂȘtre soi, un individu « idĂ©aliste » doit parvenir Ă  prendre conscience de sa valeur rĂ©elle.  

Toujours en s’appuyant sur les grandes familles de profils psychologiques MBTI, il est possible de considĂ©rer (dans les grandes lignes) que les profils psychologiques NT, surnommĂ©s « les rationnels », sont plus sĂ»rs d’eux.

Basant leurs décisions sur des arguments factuels, ils ont un discours réfléchi ce qui leur donne inévitablement une plus grande assurance. 

Les 4 profils du dernier tempĂ©rament, celui des « gardiens des traditions », ont pour philosophie de vie de ne jamais prendre de risques. Leur aversion pour l’incertitude, fait qu’Ă  dĂ©faut de savoir ce que le sort leur rĂ©serve, ils mettent tout en Ɠuvre pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Ils arriveront 30 minutes en avance Ă  un rendez-vous, planifieront Ă  outrance leur agenda, privilĂ©gieront ce qu’ils connaissent et qui a dĂ©jĂ  fonctionnĂ©, Ă  ce qui pourrait ĂȘtre encore mieux mais qui est nouveau !

Cependant, un tel mode de vie ne les Ă©pargne pas forcĂ©ment de douter d’eux-mĂȘmes. 

Mais sur le plan psychologique de la personnalitĂ© de l’ĂȘtre humain, la dimension la plus corrĂ©lĂ©e Ă  la confiance en soi est sans aucun doute la fonction cognitive de prise de dĂ©cisions.

Les personnes privilĂ©giant naturellement et instinctivement l’affect (la fonction « Feeling ») Ă  la « raison » (la fonction « Thinking ») sont plus amenĂ©es Ă  douter.

Cela ne veut pas dire qu’elles ont plus souvent tort, mais bien que fondant leurs dĂ©cisions sur des Ă©motions, elles ont moins de certitudes.

En effet, quoi de plus impalpable et subjectif qu’un sentiment…

Quoi qu’il en soit, en conclusion, on peut s’accorder Ă  dire que si les travaux sur la psychologie de l’ĂȘtre humain ne permettent pas de rĂ©pondre Ă  la question « comment avoir confiance en soi ?« , ils mettent clairement en Ă©vidence que nous ne sommes pas tous Ă©gaux Ă  la naissance.

symbole de certitude et d'assurance

Image par Gerd Altmann de Pixabay

Les origines de la confiance en soi

L’influence de votre Ă©ducation et de vos jeunes annĂ©es

Isabelle Filiozat, psychothĂ©rapeute et grande « dĂ©fenseur » de la parentalitĂ© positive, a fondĂ© nombre de ses recherches sur l’influence que peut avoir le contexte dans lequel un enfant grandit, sur sa personnalitĂ© future.

En s’appuyant sur les avancĂ©es des neurosciences, elle soutient qu’au dĂ©but de notre vie nous avons besoin de soutien de la part des nos parents pour nous aider Ă  nous construire sur le plan affectif.

Elle part du principe que dans nos premiĂšres annĂ©es, le cerveau humain ne nous permet pas de parvenir Ă  tempĂ©rer l’intensitĂ© des Ă©motions que nous subissons.

C’est en cela, que le rĂŽle des parents est capital pour permettre Ă  l’enfant de croire en soi dĂšs le dĂ©but de sa construction personnelle.

Il est facile d’imaginer les consĂ©quences psychiques dĂ©vastatrices d’une situation de maltraitance (physique ou morale) avec un pĂšre ou une mĂšre qui rabaisse au lieu de soutenir, qui dĂ©valorise au lieu d’encourager…

Si nous ne partons pas toutes et tous avec le mĂȘme capital confiance du fait de notre profil psychologique, nous n’avons pas non plus les mĂȘmes atouts de par l’environnement de notre Ă©ducation. 

L’importance de votre profil psychologique

Si l’on se place sur le plan du MBTI (et des 16 personnalitĂ©s) le fait d’avoir confiance en soi n’est pas une notion pour laquelle tous les ĂȘtres sont Ă©gaux.

Alors certes, sur ce blog, je ne traite « que » du MBTI et des personnalités décrites à partir des travaux de Carl Jung. Cependant, ne serait-ce que sur ce plan, il est déjà possible de distinguer des profils plus ou moins enclins à croire en eux (et à douter).

Avant d’aller plus loin dans cet article, je rĂ©pĂšte ce que je cherche Ă  marteler rĂ©guliĂšrement : il n’y a pas de bon ou de mauvais profil et le MBTI ne vise surtout pas Ă  mettre les individus dans des cases.

Cet instrument est un outil de dĂ©veloppement personnel, de renforcement de l’estime de soi et non de jugement !

NĂ©anmoins, comme il est reconnu par la science que les droitiers et les gauchers ne disposent pas des mĂȘmes facilitĂ©s, il est donc tout Ă  fait logique d’admettre que les 16 profils ont leurs propres points forts et leurs propres difficultĂ©s.

Etant donnĂ© le nombre de personnalitĂ©s dĂ©crites par le modĂšle, je ne m’intĂ©resserai ici qu’aux 4 grandes familles (les « tempĂ©raments ») au risque d’ĂȘtre un tout petit peu gĂ©nĂ©raliste et caricatural.

Cependant, quelques grandes lignes se dĂ©gagent Ă  commencer par le fait que les 4 profils constituant le « tempĂ©rament » idĂ©aliste (ENFP, INFP, ENFJ et INFJ) est probablement le plus sujet au manque d’assurance.

Cependant, l’origine de ce manque de confiance en soi n’est pas uniquement et directement liĂ©e Ă  leurs caractĂ©ristiques. En effet, la SociĂ©tĂ© dans laquelle nous vivons est largement dominĂ©e sur le plan statistique, par les SJ (les « gardiens des traditions ») qui reprĂ©sentent 45% des individus.

Ce sont eux qui en ont Ă©laborĂ© les rĂšgles, les principes et qui l’ont construite au fil du temps en se basant sur leur nature psychologique.

L’aspect terre Ă  terre de ces derniers, le fait qu’ils vivent avant tout dans le concret peut dĂ©stabiliser les profils idĂ©alistes dont la philosophie de vie et le fonctionnement sont aux antipodes de ces caractĂ©ristiques.

Ce constat fait qu’il est plus difficile pour des poĂštes de s’Ă©panouir et d’ĂȘtre heureux dans notre SociĂ©tĂ© occidentale. 

Symbole de psychologie pour ĂȘtre sĂ»r de soi

Les consĂ©quences de l’expĂ©rience

Cela semble Ă©vident mais on a moins peur de ce que l’on connaĂźt. D’ailleurs, n’importe quel individu abordera avec moins d’apprĂ©hensions un obstacle, s’il sait qu’il l’a dĂ©jĂ  franchi.

Cependant nous ne sommes pas tous Ă©gaux face Ă  la nouveautĂ© d’une situation !

En effet, si l’on se rapporte au MBTI, les travaux de diffĂ©rents psychologues au cours du XXĂšme siĂšcle, ont dĂ©montrĂ© que les individus dits « Sensitifs » (les 70% de la population qui recueillent les informations via leurs 5 sens) progressent dans une activitĂ© au fur et Ă  mesure qu’ils la rĂ©pĂštent.

On pourrait croire cela normal mais ce serait faux ! En effet, les personnes privilĂ©giant l’intuition pour recueillir les donnĂ©es Ă  envoyer Ă  leur cerveau (les 30% restants donc), elles, ont un processus inverse : c’est l’habitude qui les fait progressivement perdre en efficacitĂ©.

Quand les Sensitifs sont dĂ©stabilisĂ©s par une situation qu’ils ne connaissent pas, les intuitifs, eux, sont plutĂŽt Ă  l’aise.

Mais du coup, on comprend aisément que ce sont les « S » qui gagnent en assurance et en aplomb à force de répéter des expériences. 

Les bienfaits de la sagesse

NĂ©anmoins, le bon sens populaire a plutĂŽt tendance Ă  considĂ©rer l’expĂ©rience comme un atout.  Pour s’en convaincre, il n’y a qu’Ă  s’intĂ©resser aux expressions usuelles de la langue du pays.

En France on a coutume d’employer des phrases comme :

« Ce n’est pas Ă  la vieille guenon qu’on apprend Ă  faire des grimaces »,

« Chat Ă©chaudĂ© craint l’eau froide »,

ou encore l’expression

« l’Ă©cole de la vie ».

De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, l’apprentissage par le vĂ©cu reste sans doute la meilleure forme d’enseignement car elle marque l’individu.

La preuve, on trouve des proverbes ou adages équivalents  aux 4 coins du monde :

En Albanie : « Ne dis pas au vieil homme comment coiffer sa barbe. »

Aux Etats-Unis : « On ne peut apprendre un nouveau tour à un vieux chien ».

En Tunisie : « L’oisillon ne donne pas la becquĂ©e Ă  son pĂšre ».

En Colombie : « Un vieux perroquet n’apprend pas Ă  parler ».

En Finlande : « On apprend pas Ă  un vieux chien Ă  s’asseoir ».

Au Pays de Galles : « Vous n’apprenez pas le Notre PĂšre Ă  un curĂ©. »

Au Japon : « On apprend pas la morale à un Bonze ».

En Roumanie : « On ne vend pas de concombre au jardinier ».

Le fait de vivre une expĂ©rience douloureuse ou simplement contraignante est mĂ©morisĂ©e consciemment et inconsciemment par le cerveau de l’homme.

D’ailleurs, ce mĂ©canisme ne se cantonne pas uniquement Ă  l’espĂšce humaine.

Je veux Ă©videmment faire rĂ©fĂ©rence ici aux travaux de Charles Darwin et de sa thĂ©orie de l’Ă©volution des espĂšces.

En deux mots, depuis que la vie est apparue sur terre, les espĂšces n’ont cessĂ© de se transformer gĂ©nĂ©tiquement.

Par exemple, les girafes ont vu leur cou s’allonger au fur et Ă  mesure des gĂ©nĂ©rations, car celles au cou plus long ont Ă©tĂ© avantagĂ©es pour se nourrir (les feuillages se situant en hauteur). 

Bien entendu, une telle transformation ne s’est pas faite sur un siĂšcle. Il a fallu plusieurs millĂ©naires.

NĂ©anmoins on peut considĂ©rer que le temps (que l’on peut rapprocher de la sagesse) fait son Ɠuvre et favorise l’adaptation Ă  un nouvel environnement.  

Comment se manifeste le sang-froid ?

Votre posture physique trahit votre niveau de conviction

La communication chez les ĂȘtres humains (ainsi que chez de nombreuses espĂšces animales) ne se cantonne pas Ă  un seul canal.

Pire que cela, la communication verbale, que l’on croit trĂšs souvent Ă  tort comme la seule, ne reprĂ©senterait que 7% du total des Ă©changes d’informations entre les individus.  

Notre corps tout entier joue un rĂŽle dans la transmission d’informations Ă  nos congĂ©nĂšres. TrĂšs souvent de façon involontaire ou inconsciente notre posture trahit l’Ă©tat de confiance en soi.

Tout comme une personne timide ne se tiendra pas de la mĂȘme façon qu’une personne expansive, une personne manquant d’assurance et d’estime d’elle-mĂȘme aura plus tendance Ă  se tenir Ă  l’Ă©cart Ă  la diffĂ©rence d’un individu en totale confiance.

Le fait de bomber le torse et de redresser les épaules est une attitude idéale et mécanique pour retrouver sa sérénité.

Le plexus solaire, est un centre Ă©nergĂ©tique, une concentration de nerfs disposĂ©s en rayons (d’oĂč le nom) et situĂ©e en dessous du sternum.

Plus il est ouvert, plus l’ĂȘtre humain se sent serein et bien dans sa peau. Ainsi, plus on bombe la poitrine moins il y a de chances d’y faire un nƓud. 

Femme pleine de certitudes

Image par John Hain de Pixabay

Des indices dans le style de communication

L’Ă©tude du psychologue Albert Mehrabian, a dĂ©montrĂ© la rĂ©partition suivante :

  • seulement 7% de notre communication serait verbale
  • 55% des informations que nous Ă©changeons proviendraient du corps
  • et 38% seraient d’ordre vocal

MĂȘme si cette rĂ©partition est Ă  nuancĂ©e car elle concerne selon son propre auteur, principalement la communication de sentiments et d’Ă©tats d’esprit, ce dernier chiffre est trĂšs intĂ©ressant.

Nous utiliserions Ă©galement Ă  hauteur de 38% dans nos Ă©changes Ă  la fois le son de notre voix et le type de nos intonations.

Il n’y a qu’Ă  voir le nombre de signes de ponctuation que la langue française comporte pour comprendre l’importance des messages sous-entendus que nous transmettons par la simple tonalitĂ© de notre voix.

C’est tellement vrai qu’il est possible de donner Ă  deux phrases, composĂ©es des mĂȘmes mots, dans le mĂȘme ordre mais avec une ponctuation diffĂ©rente, des sens radicalement diffĂ©rents.

On peut aisĂ©ment imaginer ainsi, que des individus ayant un manque de confiance en eux ne formuleront pas leurs idĂ©es de la mĂȘme maniĂšre que des personnes en pleine confiance.

MĂȘme sans ĂȘtre trĂšs observateur, il est aisĂ© de dĂ©tecter un manque de confiance en soi chez un orateur.

Que ce soit au travers d’une voix tremblante ou d’un ton moins affirmatif, de nombreux indices laissent transparaĂźtre un Ă©tat psychologique.

Du coup, par dĂ©duction, une personne pleine de certitudes aura un ton affirmĂ©, parlera certainement Ă  haute voix et utilisera probablement plus souvent des phrases engageantes telles que « nous allons… », « nous pouvons… ».

Cependant, il est tout Ă  fait possible d’avoir confiance en vous tout en ayant une personnalitĂ© introvertie (au sens du MBTI). L’un n’empĂȘche pas l’autre. L’affirmation de soi, la revendication de sa personnalitĂ© prendra simplement une forme diffĂ©rente.

Au sens du MBTI, les personnes introverties trouvent leur Ă©nergie en s’isolant et en Ă©vitant trop d’interactions sociales. Ceci ne veut pas dire qu’elles ne sont pas sĂ»res d’elles et qu’elles ne savent pas ce qu’elles veulent.

C’est simplement leur fonctionnement neurologique prĂ©fĂ©rentiel qui est diffĂ©rent.

La capacité à trancher et à savoir dire « non »

L’aptitude Ă  prendre des dĂ©cisions est Ă©galement un signal intĂ©ressant Ă  observer. 

Pour une personne en pleine possession de ses moyens, cela peut sembler Ă©trange de se dire que de devoir choisir une destination de vacances, un jour de rendez-vous ou encore plus insignifiant, une couleur de vĂȘtement peut ĂȘtre Ă  l’origine d’un blocage…

Et pourtant, paradoxalement, il est capital de comprendre que dĂšs lors que l’on souffre d’une absence de sĂ©rĂ©nitĂ©, le moindre choix peut sembler difficile.

MĂȘme si les consĂ©quences qui en dĂ©coulent n’engagent pas sa survie, l’ĂȘtre sans grande confiance en lui risque fort d’avoir toutes les peines du monde Ă  trancher.

Souvent Ă  l’origine de tout, se trouve le sentiment d’ĂȘtre jugĂ©. En effet, la peur du regard des autres peut le bloquer au point d’ĂȘtre tĂ©tanisĂ© et incapable de dĂ©cider.

C’est parce que dans leur tĂȘte, ils ont la croyance que dĂ©cider c’est prendre la responsabilitĂ© de ce qu’il adviendra, que trop souvent les personnes qui n’ont pas foi en elles prĂ©fĂšrent confier leur devenir au dĂ©cret d’une autre personne.

D’ailleurs, l’incapacitĂ© Ă  savoir dire « Non », est sans doute la manifestation la plus courante du manque d’assurance. 

La faculté à prendre des initiatives

Comme nous venons de l’Ă©voquer, le fait d’acquĂ©rir confiance en soi influence directement notre capacitĂ© Ă  prendre des dĂ©cisions et ne plus ĂȘtre « simplement suiveur ».

A un niveau encore supĂ©rieur du fait de faire ses propres choix se trouve la tendance Ă  prendre des initiatives. Alors qu’un choix est une dĂ©cision qui nous est imposĂ©e de prendre, une initiative provient d’une volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e.

Si personne n’attend rien de vous et que pourtant vous dĂ©cidez volontairement d’agir significativement, alors c’est le signe que vous ĂȘtes en mesure d’accomplir de grandes choses.

L’attitude consistant Ă  aller de l’avant quand personne ne vous l’impose ou que personne ne vous reprocherait de ne rien avoir entrepris est vraiment un signe de culot et de conviction !

On a souvent tendance Ă  distinguer les leaders d’un groupe (notamment dans le milieu professionnel) Ă  cette facultĂ© qu’ils ont de lancer de nouvelles idĂ©es, de proposer de nouvelles voies Ă  explorer.

Une personne en manque d’assurance a naturellement (instinctivement pourrait-on dire) tendance Ă  se recroqueviller sur elle-mĂȘme et Ă  faire le dos rond. Elle cherche Ă  Ă©viter d’empirer sa situation en attendant que la tempĂȘte passe et elle a tendance Ă  se figer.

Prendre une initiative c’est tout l’inverse ! C’est ĂȘtre suffisamment fort dans sa tĂȘte et confiant en ses capacitĂ©s pour dĂ©cider de passer Ă  l’action quitte Ă  sortir de sa zone de confort en ne comptant que sur soi.

Pourquoi est-il si important d’ĂȘtre sĂ»r de soi dans la vie ?

Être confiant pour imposer ses choix et ne plus subir

Nous venons de rapidement l’Ă©voquer, affirmer ses certitudes parce que l’on est convaincu de ses dĂ©cisions est une attitude qui a de multiples avantages dans notre SociĂ©tĂ©.

Que ce soit dans la vie de tous les jours ou dans le monde professionnel (oĂč c’est encore plus le cas), l’aplomb d’une personne lui ouvre gĂ©nĂ©ralement de nombreuses portes.

Cette attitude ouvre de nombreuses portes pour plusieurs raisons, Ă  commencer par le fait que naturellement elle suscite chez les autres de l’admiration. MĂȘme si cela n’est pas « politiquement correct » de le reconnaĂźtre, les « faibles » sont souvent Ă©crasĂ©s.

La SociĂ©tĂ© est ainsi faite qu’on leur impose bien plus facilement des choix qui ne sont pas les leurs.

Sur ce point, l’homme se rapproche vraiment de l’animal.

Le meilleur exemple en la matiÚre est sans doute celui du loup. Dans une meute, les zoologistes parlent du « mùle alpha » pour désigner celui qui impose ses décisions au reste du groupe.

MĂȘme si la comparaison est un peu excessive, le parallĂšle est trĂšs riche de sens. 

Comme le loup, l’homme respecte plus ses congĂ©nĂšres si ces derniers se montrent sĂ»rs d’eux.

MĂȘme si cela fait peur car cela peut nous forcer Ă  sortir de notre zone de confort, il est capital d’accepter cette rĂšgle primitive .

Pour cela la clĂ© est d’en mesurer l’enjeu car de lĂ  (ainsi que du regard des autres), dĂ©pend en grande partie l’estime que l’on se porte.

Il faut juste comprendre que c’est l’histoire d’une boucle :

  • Pour retrouver confiance en vous, vous devez vous imposer, mais pour vous imposer, vous devez avoir confiance en vous.

La clĂ© est d’ĂȘtre convaincu de ce cycle et d’oser enclencher le premier pas pour Ă©viter que ce cercle vertueux ne se transforme en cercle vicieux.

Être optimiste pour rassurer son entourage

MĂȘme si ce n’est pas la premiĂšre des consĂ©quences Ă  laquelle on pense, il est capital d’ĂȘtre sĂ»r de soi Ă©galement pour son cercle proche.

Comme la peur ou l’optimisme, la confiance en soi est un Ă©tat d’esprit communicatif.

Communicatif, car elle se diffuse par simple contact.

Pour illustrer ce pouvoir et démontrer cette vertu, imaginez passer toute une journée avec une personne défaitiste, qui broie du noir en permanence


Que va t-il se passer ? Inévitablement, votre moral sera impacté !

La bonne nouvelle cependant, c’est que l’inverse est Ă©galement vrai. Il suffit de passer toute une journĂ©e en prĂ©sence de personnes Ă  la pensĂ©e positive qui respirent la joie de vivre pour en ressentir les bienfaits sur son Ă©tat d’esprit.

C’est comme ça que nous influençons et sommes influencĂ©s, en bien comme en mal, par le « mindset » des gens que nous frĂ©quentons.

Je pourrais en conclure, qu’il est trĂšs important de choisir et sĂ©lectionner ses frĂ©quentations, mais lĂ  n’est pas mon but. Enfin presque…

Certes, on peut comprendre que si l’on ne dĂ©sire pas ĂȘtre exclu(e) de certaines relations il est capital de montrer un Ă©tat d’esprit irrĂ©prochable.

Mais, le fait de savoir que votre niveau de confiance en vous, votre capacitĂ© Ă  dĂ©montrer de l’assurance en toutes circonstances rejailliront sur votre cercle proche est une motivation supplĂ©mentaire pour vous encourager Ă  cultiver une telle attitude.

Se dire que sa famille et que ses amis en bĂ©nĂ©ficieront Ă  notre contact ne peut que nous donner un coup de fouet car chez de nombreuses personnes (peut-ĂȘtre chez vous aussi ?) l’altruisme est un moteur dans la vie.

Cela fera peut-ĂȘtre l’objet d’un prochain article mais certains profils MBTI (parmi le 16) sont plus encouragĂ©s dĂšs lors que c’est le bien-ĂȘtre des leurs qui est en question…

Signification de la confiance

Image par Sasin Tipchai de Pixabay

Être audacieux pour dĂ©passer ses peurs

Et si contrairement Ă  ce que l’on serait tentĂ© de croire, on n’Ă©tait pas audacieux parce que l’on dĂ©passait ses peurs mais l’inverse ?

Et si s’Ă©tait en Ă©tant tĂ©mĂ©raire et aventureux que l’on parvenait Ă  sortir de notre zone de confort ? C’est en quelque sorte l’histoire de l’Ɠuf et la poule…

On ne sait lequel des deux est arrivé en premier sur terre.

Et bien concernant l’audace et le dĂ©passement de soi, cela vaut aussi la peine de se poser la question.

Personnellement je pense que nous naissons toutes et tous avec un « capital courage« , mais que celui-ci n’est pas figĂ©. Il se travaille !

L’avantage c’est que la peur Ă©tant une notion relative puisque propre Ă  chacun, nous pouvons tous nous fixer des paliers et avancer dans ce travail progressivement Ă  son rythme.

Il est bon de se poser et de s’interroger sur sa propre Ă©chelle d’apprĂ©hensions afin de dĂ©terminer des petits dĂ©fis personnels qui nous amĂšneront Ă  terme Ă  dĂ©passer nos plus grandes phobies et dĂ©couvrir la magie !

image sur la sortie de la zone de confort

VoilĂ  pourquoi je persiste Ă  croire que c’est bien en affrontant nos dĂ©mons que nous nous prouvons Ă  nous-mĂȘmes que nous sommes capables et que nous renforçons notre assurance.

Pas l’inverse !

Être forgĂ© de convictions pour se rĂ©aliser

Cette motivation est sans doute celle qui a le plus de grĂące Ă  mes yeux… A l’origine, si j’ai crĂ©Ă© ce blog c’est parce que je suis convaincu que la pire des choses dans la vie est d’arriver sur son lit de mort avec des regrets.

J’en suis d’autant plus convaincu, qu’avoir osĂ© vaincre mes peurs de l’inconnu et de l’inconfort m’a permis de rĂ©aliser mon rĂȘve. C’est au retour de mon voyage au long cours avec mon sac Ă  dos que j’ai pris conscience que l’origine de tout avait Ă©tĂ© ma profonde dĂ©termination.

DĂšs que je me suis mis en tĂȘte de rĂ©aliser ce projet, j’ai Ă©tĂ© suffisamment dĂ©terminĂ© pour tout prĂ©parer : de la documentation sur les pays que j’allais traverser, au matĂ©riel Ă  prĂ©voir, en passant par les lectures de tĂ©moignages ou les formalitĂ©s administratives…

Étape par Ă©tape j’ai avancĂ© vers la rĂ©alisation du rĂȘve de ma vie en franchissant les difficultĂ©s avant tout grĂące Ă  ma conviction.

Je savais ce que je voulais et je le voulais ardemment !

C’est selon moi ce qui fait la diffĂ©rence entre un projet entrepris en dilettante et un rĂȘve que l’on finit par vivre rĂ©ellement.

Cela doit partir des tripes et remonter par le cƓur !

Avec ces ingrĂ©dients chacun est capable de renverser des montagnes. Le tout est de le savoir…

DĂ©gager de l’assurance pour attirer de belles personnes

Cette derniÚre motivation est sans doute celle dont on a le moins conscience au départ.

Sans forcément vouloir fuir une forme de narcissisme, il est intéressant et souvent méconnu de savoir que la confiance en soi agit comme un aimant à belles personnes.

Qui n’a jamais Ă©prouvĂ© une forme d’assurance en prĂ©sence d’une personne charismatique ?

Quand on est au contact d’une personne sĂ»re d’elle on se dit que tout est sous contrĂŽle, qu’en cas d’incident cette personne saura comment rĂ©agir.

Sans compter l’admiration qu’un individu plein de certitudes suscite presque mĂ©caniquement.

S’il affirme, c’est qu’il ne doute pas. S’il ne doute pas, c’est qu’il connaĂźt la voie !

MĂȘme s’il faut toujours se mĂ©fier du paraĂźtre, nous sommes gĂ©nĂ©ralement tous attirĂ©s par cette forme de force intĂ©rieure qui se dĂ©gage.

D’ailleurs l’aplomb est une des composantes de ce que l’on appelle le charisme.

Le premier exemple qui me vient  en tĂȘte est celui de l’ancien PrĂ©sident des Etats-Unis d’AmĂ©rique, Barack Obama.

En toutes circonstances, il semblait connaßtre les conséquences de ses actes ainsi que les solutions aux éventuelles situations de crise.

MĂȘme si je suis persuadĂ© qu’une bonne part de ce qu’il laissait paraĂźtre Ă©tait surjouĂ©e, il Ă©tait l’incarnation mĂȘme de la personne que l’on suivrait les yeux fermĂ©s…

Uniquement parce qu’elle semblait en permanence sĂ»re de ses choix.

La confiance et l’estime de soi

Il est difficile d’Ă©voquer la notion de confiance en soi, sans aborder le thĂšme de l’estime de soi.

Si les deux concepts sont inĂ©vitablement corrĂ©lĂ©s, il faut tout de mĂȘme avoir conscience du fait que la confiance en soi dĂ©coule de l’estime de soi et qu’en ce sens ce ne sont pas des synonymes.

L’estime personnelle c’est l’image que vous avez de vous, de votre propre valeur. En fonction des individus (et nous sommes tous diffĂ©rents), cette valeur dĂ©pendra de critĂšres diffĂ©rents.

Certaines personnes considĂšrent qu’elles sont de bonnes personnes si elles aident leur prochain tandis que d’autres s’estiment « admirables » (je mets volontairement des guillemets) si elles ont de la rĂ©ussite sur le plan professionnel.

Il y a autant d’Ă©chelles de mesure qu’il existe d’individus. L’essentiel est de comprendre que si vos agissements sont alignĂ©s avec vos croyances (quelles qu’elles soient), votre estime personnelle sera Ă  son zĂ©nith.

Image d'estime de soi et de fierté

A Retenir

Nous venons de la voir entretenir et dĂ©velopper sa confiance en soi sont des attitudes qui revĂȘtent des enjeux bien plus grands que le simple Ă©tat de bien ĂȘtre intĂ©rieur. 

Dans un tel état psychologique, il nous est plus facile de parvenir à savoir comment réussir à prendre du recul ce qui nous arrive dans notre quotidien et inévitablement de faire de meilleurs choix.

Gagner en assurance et dĂ©tecter les signes de manque de confiance en soi, est une attitude qui peut permettre un effet boule neige sur notre vie en nous rendant plus attirant aux yeux des personnes que nous cĂŽtoyons, en nous permettant de percevoir comment lĂącher prise pour oser vivre nos rĂȘves.

DĂšs lors, il est crucial de les comprendre et de dĂ©tecter les premiers signes de perte de confiance afin d’essayer de mieux maĂźtriser ses Ă©motions.

En fin de compte, cette notion est clĂ© car au centre d’un cercle qui peut-ĂȘtre vertueux ou vicieux… Avec ou sans aplomb on attire ou pas la rĂ©ussite et avec la rĂ©ussite on accroĂźt son assurance.  

Si cet article vous a plu ou si vous pensez qu’il pourrait inspirer des personnes de votre entourage, n’hĂ©sitez pas Ă  le partager 😉😉

 
Partager

21 rĂ©flexions au sujet de “➀ Signification de la Confiance en Soi”

  1. Trùs enrichissant ! Merci pour cet article qui montre bien que la confiance en soi ne vient pas d’une rùgle fixe.
    Elle est propre Ă  chaque individu et surtout elle se travaille !
    100% d’accord sur le fait que sortir de sa zone de confort et faire de nouvelles actions permet d’évoluer et de gagner en confiance !
    « J’ai peur, mais j’y vais quand mĂȘme !! » 😉
    Merci !

     
    RĂ©pondre
  2. Merci pour cet article! La confiance en soi est quelque chose qui se construit avec le temps. Voici ce qui m’a beaucoup impressionnĂ© et inspirĂ© : ‘L’essentiel est de comprendre que si vos agissements sont alignĂ©s avec vos croyances (quelles qu’elles soient), votre estime personnelle sera Ă  son zĂ©nith.’ Merci encore!

     
    RĂ©pondre
    • Merci pour votre retour Genka et OUI il faut tendre vers ses valeurs 🙂

       
      RĂ©pondre
  3. Votre article Nicolas est trĂšs complet et intĂ©ressant … je retiens cette phrase qui rĂ©sonne particuliĂšrement pour moi « L’essentiel est de comprendre que si vos agissements sont alignĂ©s avec vos croyances (quelles qu’elles soient), votre estime personnelle sera Ă  son zĂ©nith. » car je suis convaincu que nous portons tous les outils nĂ©cĂ©ssaire Ă  notre rĂ©ussite personnelle dans notre for intĂ©rieur et au travers d’un travail introspectif nous pouvons manifester notre dimension unique et personnelle en pleine confiance.

     
    RĂ©pondre
    • Le tout est de s’en convaincre ! Merci pour ce partage Eric

       
      RĂ©pondre
  4. Merci Nico pour cet article complet!
    Et oui, nos Ă©motions nous jouent des tours surtout lorsque nous sommes hors de notre zone de confort, mais quoi de plus humain?

     
    RĂ©pondre
    • L’important est d’apprendre Ă  se connaĂźtre pour mieux les comprendre je pense. Merci Ă  toi Alice pour ton retour

       
      RĂ©pondre
  5. Pour moi, la confiance en soi, se travaille au fil du temps. Aucune personne ne peut prĂ©tendre avoir une confiance en elle en tout, on a confiance en nous selon notre maĂźtrise de tel, ou tel chose 😉

     
    RĂ©pondre
    • C’est certain qu’avec l’expĂ©rience on gagne en assurance 🙂 . Merci pour ce retour RĂ©mi

       
      RĂ©pondre
    • Tant mieux ValĂ©riane ! Merci de me le dire pour la suite de la vie du blog 🙂

       
      RĂ©pondre
  6. Quel article complet ! J’apprĂ©cie particuliĂšrement l’approche des types de personnalitĂ©, avec leurs avantages et inconvĂ©nients ainsi que le fait de ne pas les mettre dans des cases comme tu le prĂ©cises. J’aime Ă©galement la subtilitĂ© qu’un introverti peut avoir pleinement confiance en soi sans forcĂ©ment ĂȘtre aussi social qu’un extraverti. La confiance en soi est vraiment un sujet passionnant et qui peut ĂȘtre traitĂ© de bien des façons. Avec ton article, on peut dĂ©jĂ  avoir une trĂšs large idĂ©e 🙂

    Merci pour tous ces bons conseils !

     
    RĂ©pondre
    • Merci beaucoup David, pour ce retour trĂšs positif cela m’encourage !

       
      RĂ©pondre
  7. Super article complet que j’aurai plaisir Ă  lire de nouveau 😉, la confiance en soi est le challenge de toute une vie ! J’ai adorĂ© les citations des diffĂ©rents pays. Ton article remet les choses en place et nous offre diffĂ©rents points de vues, ça fait du bien. Merci.

     
    RĂ©pondre
  8. Whaou, merci pour cet article passionnant et super complet. J’ai adorĂ© les illustrations par les vidĂ©os qui apportent des exemples pratiques et concrets Ă  tes propos. Au top 👍

     
    RĂ©pondre
  9. « Être confiant pour imposer ses choix et ne plus subir » c’est vraiment le point central et ce qui m’a plus que motivĂ© Ă  m’exercer pour gagner en confiance. Et finalement je ne le regrette pas, c’est tout Ă  fait gĂ©nial! Merci beaucoup pour tes articles complets et pertinents comme toujours 🙂

     
    RĂ©pondre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.