Si la question majeure qui se pose dès lors que l’on évoque le fait de chercher grandir et d’évoluer chez l’être humain est généralement « comment sortir de sa zone de confort », il est également crucial de se demander l’intérêt que l’on peut avoir à entamer une telle démarche.
En effet, dépasser ses limites, affronter ses peurs et oser accepter de changer ses habitudes est une démarche contre nature.
Par là, il faut comprendre que dépasser ses limites est une démarche qui nécessite une prise de conscience et surtout une farouche détermination.
De nombreuses théories de développement personnel visant à accroître la confiance en soi conditionnent le fait de réussir à devenir une nouvelle personne par le fait de sortir de sa zone de bien-être.
La logique est simple : pour acquérir de nouvelles compétences, pour grandir, il est nécessaire de faire de nouvelles choses. C’est exactement ce qu’Albert Einstein exprimait lorsqu’il disait :
« La folie c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent ».
Albert Einstein
Entreprendre de nouvelles actions ou procéder d’une façon inédite fait forcément plus ou moins peur.
En fonction de l’enjeu, de l’importance du changement et du profil psychologique de l’individu, il est en effet plus ou moins évident de parvenir à évoluer.
Cet article sera orienté principalement sur la dimension psychologique de l’être humain et des intérêts que ce dernier peut avoir à accepter de se « faire violence ».
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Table of Contents
Qu’est ce que la zone de confort ?
Définition générale
Ce que l’on entend communément par les termes de zone de confort pourrait être défini par l’espace dans lequel une personne se sent à l’aise.
Cet espace est aussi bien sur le plan physique concret et réel que sur le plan moral et psychologique.
L’expression populaire qui fait le mieux référence à cette zone de confort physique est sans aucun doute l’expression
« Comme un poisson dans l’eau ».
Cela signifie qu’être dans sa zone de confort, c’est être dans son élément, là où son potentiel s’exprime le mieux.
D’ailleurs cette expression est le plus souvent utilisée sur le plan moral et fait généralement référence aux sentiments que l’on ressent dans un contexte particulier.
De ce sentiment dépend notre capacité d’adaptation, notre faculté à libérer et exprimer notre plein potentiel. En effet, lorsqu’on n’est pas à l’aise notre attention est naturellement répartie sur plusieurs risques que notre cerveau interprète comme des « menaces ».
Un tel contexte nous empêche de croire en nous à 100 % et ainsi il nous est impossible de nous surpasser.
Sur le plan psychologique
La dimension sur laquelle je souhaite réellement insister, est la dimension psychologique.
Au travers du MBTI il est tout à fait possible de définir la zone d’inconfort de chacune des 16 personnalités du modèle.
Que ce soit une difficulté à gérer les émotions, la capacité à se concentrer durablement, l’aptitude à se projeter dans le futur ou encore l’absence de sens pratique dans la vie de tous les jours, il est possible d’identifier un axe de progrès pour chaque profil.
En fait chaque personnalité psychologique identifiée par Katerine Cook Briggs et sa fille Isabel Briggs Myers, est définie par 4 axes de préférence.
Les multiples combinaisons aboutissent à une matrice de 16 profils ayant chacun des points de force et des zones de progrès.
Identifier cette zone d’apprentissage est une formidable opportunité pour développer ses capacités. La prise de conscience est toujours la première étape avant le changement et l’évolution.
« On ne peut changer quoique ce soit avant de l’avoir accepté. Condamner ne libère pas. Cela nous oppresse. »
Outre le fait de grandir cela peut également contribuer à renforcer son estime personnelle, à vaincre ses peurs ou tout simplement à s’accepter.
Car l’un des plus grands apports du MBTI est bien, la compréhension de son profil inconscient et inné.
D’ailleurs si vous ne connaissez pas votre personnalité psychologique parmi les 16 définies par le modèle je ne peux que vous inviter à réaliser ce test « maison ».
Dépasser ses limites pour mieux se connaître
Identifier nos domaines de prédilection c’est déjà apprendre sur soi
La première des motivations qui peut pousser un individu à une forme d’introspection est de découvrir sa zone de confiance et d’apprendre à mieux se connaître.
Dire cela peut sembler être une lapalissade, mais entamer une telle démarche nécessite une certaine maturité.
C’est déjà avoir conscience que tous les progrès que l’on peut faire et toutes les difficultés que l’on éprouve ne viennent pas forcément du monde extérieur et des autres.
Nous avons tous en nous un potentiel inexploité (car méconnu) qui représente une richesse incroyable.
Quiconque accepte de plonger dans les profondeurs de son inconscient et de l’inconnu met le doigt sur le principal levier pour changer d’état d’esprit et développer sa personnalité.
C’est par là que nous pouvons tous ambitionner devenir de nouvelles personnes.
« Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans sa propre obscurité. »
Carl Gustav Jung
Se fixer des buts pour découvrir ses limites
« Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait. »
Cette citation de Mark Twain est sans doute le meilleur résumé que l’on puisse faire de la tendance de la majeure partie des être humains.
Si quelques personnes se surestiment, la grande majorité d’entre nous ignore le potentiel qui sommeille au fond de nous.
Seul le fait de réaliser une action (sans même parler d’exploit) nous fait réaliser que nous sommes capables de bien plus que ce que nous faisons au quotidien.
Le déclencheur le plus puissant pour nous faire prendre conscience de nos capacités peut être l’instinct de survie dans des cas extrêmes. En effet, le cerveau et le corps humain sont capables de révéler en nous une nature insoupçonnée.
Mais sans aller jusqu’à une telle extrémité (que le fait de mettre sa vie en danger), il est possible d’élargir sa zone de confort en apprenant à se connaître vraiment.
Quelles sont ses propres peurs et d’où viennent-elles ? Sont-elles réellement fondées ?
Et pourquoi ne pourrait-on pas leur faire face ?
Voilà toutes les questions à se poser nous menant inévitablement à chercher à découvrir nos barrières.
Découvrir ses limites c’est savoir jusqu’où on peut aller et découvrir jusqu’où on peut aller c’est conquérir de nouveaux territoires sur notre inconscient.
Tels des pionniers du Far West, nous avons la possibilité de partir défricher des territoires inconnus.
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Pour cela le meilleur moyen reste encore de se fixer des buts à atteindre et d’avancer, toujours avancer.
Se mettre dans l’inconfort pour grandir
Prendre conscience et identifier nos difficultés
Partant donc du principe que c’est le fait d’oser aller vers l’inconnu, pour se confronter à ses peurs et dépasser ses croyances limitantes, qui est le chemin de développement de chaque individu la prochaine étape est précisément d’identifier ses peurs.
Pour certains ce sera le fait de prendre la parole en public, pour d’autres le fait de s’affirmer et d’affronter le regard des gens et pour d’autres tout simplement la peur d’échouer.
Chaque personnalité psychologique a ses propres chantiers de travail !
Quoi qu’il en soit le schéma que nous devons tous avoir en tête pour dépasser nos phobies et nous développer est le suivant :
Commencer par prendre conscience puis accepter. Ce n’est qu’à partir de là que chaque individu peut agir.
En ayant une démarche analytique, chacun peut mettre en place un plan d’actions directement orientées vers l’amélioration.
Si par exemple une personne ne sait pas dire « non », elle devra dans un premier temps découvrir cette difficulté à s’affirmer (seule ou aidée de son entourage), avoir le courage et l’honnêteté de l’accepter, pour ensuite seulement mettre en place des actes concrets.
Ces actes lui permettront d’ancrer dans la réalité son souhait d’évolution.
Utiliser la méthode des « petits pas »
Le méthode des petits pas, le kaïzen, est héritée du monde industriel. A l’origine ce processus vise à ancrer une philosophie d’amélioration continue au sein de l’entreprise.
Son gros avantage est qu’elle ne demande pas un gros investissement pour chaque évolution… d’où le nom de technique des « petits pas ».
En fait, cette philosophie du progrès qui peut donc s’adapter au développement personnel de l’être humain, à sa capacité d’adaptation, nécessite et tire son efficacité avant tout de la persévérance.
En mettant un niveau d’exigence et en s’imposant une rigueur dans l’avancement du projet, l’individu avance inévitablement vers le mieux.
Pour prendre une métaphore, c’est un peu comme la situation d’un cycliste qui se préparerait à grimper un col hors catégorie, comme par exemple celui de l’Alpe d’Huez.
Pour réussir à monter cet obstacle particulièrement difficile, il doit aborder chacun des 21 virages un par un. Ne pas penser à la montée dans son ensemble mais avancer étape par étape.
Affronter ses peurs pour développer sa confiance en soi
Avoir peur mais le faire quand même
Tous les êtres humains sont uniques, mais ils se rejoignent tous sur le fait qu’ils ont des peurs.
En fonction de leur type et de leur degré d’intensité (pouvant aller jusqu’à la peur panique et à la phobie) ces peurs peuvent être à l’origine de conséquences handicapantes et d’émotions négatives telle que la perte de confiance en soi.
L’étude des faits a prouvé que statistiquement, 95 % de nos peurs ne se réalisent jamais.
Si l’on doit reconnaître que nos peurs sont en grande partie à l’origine de la survie de notre espèce au fil des siècles, un tel chiffre doit nous interpeller.
Cela veut tout simplement dire que nous anticipons quasiment systématiquement des événements qui ne se produisent pas.
Autrement dit, nous bridons nos possibilités de vivre pleinement notre existence !
Le fait de limiter, pour de mauvaises raisons, les possibilités de vivre de manière encore plus épanouie doit sonner comme une alerte.
C’est exactement pour cela que nous devons accepter d’avoir peur, garder à l’esprit qu’il y a de grandes chances que cette crainte soit infondée et agir malgré tout !
En deux mots : avoir peur mais le faire quand même !
Nous devons garder à l’esprit que le vrai danger est plus l’immobilisme que l’action.
Mon expérience personnelle
Pour illustrer cette démarche, je peux évoquer mon histoire personnelle.
En deux mots, à l’âge de 40 ans j’ai réalisé le projet de ma vie : partir à l’aventure avec mon sac à dos à la découverte de paysages sauvages dans des pays étrangers.
Depuis toujours je pense, j’avais cette envie au fond de moi : « vivre la liberté à l’état pur ».
Pouvoir me déplacer au gré de mes envies sans aucune contrainte, tel était mon rêve.
La contrainte majeure dans mon cas était basée sur ma peur de l’inconnu et du changement. J’ai du quitter un environnement familier, une zone de confort, pour plonger dans l’inconnu.
Sortir d’une existence bien organisée, où je maîtrisais et connaissais tout mon environnement pour me projeter dans une vie ou chaque jour allait être une aventure différente ne s’est pas fait sans difficulté.
Pour cela j’ai mis en place un programme de travail sur mes peurs pendant les deux années qui précédèrent le départ.
Ainsi, j’ai passé une semaine dans l’inconfort physique en faisant un raid en Corse au cours duquel je dormais sur la plage et évoluait dans un univers salé.
Pour effacer ma peur de ne pas avoir les capacités physiques de gravir des sommets à plus de 5000 mètres ou de faire des marches de plusieurs heures avec mon sac à dos, je me suis entraîné jour après jour physiquement.
J’ai avancé vers mon rêve petit à petit très lentement (2 ans de préparation) mais sûrement car je savais ce que je voulais et que j’étais déterminé.
Ainsi en Novembre 2017 j’ai réalisé, avec mon sac à dos, un tour de l’Amérique du Sud durant 10 mois. J’en suis forcément revenu changé et plus que jamais convaincu que la magie se situe au-delà de nos peurs.
Quelques années plus tard, je me suis attaqué à une autre peur : celle du jugement du regard des autres. Pour se faire, j’ai osé (car je vous promets que j’ai vraiment dû me faire violence) m’inscrire à un jeu télévisé.
Ce jour là, j’ai osé prendre le risque d’être jugé par 1,5 million de téléspectateurs !
J’ai eu peur… mais j’ai l’ai fait !
Oser sauter dans l’inconnu pour vivre pleinement l’instant présent
Ne pas confondre « avoir de l’audace » et « agir sur un coup de tête »
Avoir de l’audace c’est braver les obstacles et entreprendre des actions risquées. Cependant, une telle attitude ne suppose pas forcément de se mettre en danger.
Il y a risque et risque. En d’autres termes, toutes les mises en danger ne se valent pas.
Les conséquences potentielles qu’elles engendrent peuvent tout aussi bien être mineures que mortelles.
C’est là qu’il est crucial (pour ne pas dire vital) de développer son discernement. Là encore, le travail évoqué précédemment sur la découverte de soi revêt une importance capitale.
Mieux discerner, c’est l’assurance de mieux doser sa prise de risques.
Mieux discerner, c’est mieux savoir jusqu’où on peut aller dans sa quête d’épanouissement et de bonheur. Certes cela passe par le fait de sortir de sa zone de confort, mais pas à n’importe quel prix.
Agir sur un coup de tête est sans doute la pire des choses à faire si l’on souhaite quitter sa situation actuelle.
Cela revient à ne pas évaluer les conséquences potentielles de nos décisions et actions et peut réellement nous mettre en danger.
Avec le temps qui passe et l’expérience on apprend à tempérer ses ardeurs car que ce soit par facilité, impatience ou inconscience il n’est jamais bon de prendre des décisions majeures sur un coup de sang.
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Se sentir vivant et s’épanouir
Cette raison est sans doute la motivation première à mes yeux pour ne plus avoir peur de l’échec, pour ne plus être effrayé par des phobies infondées et pour devenir sûr de soi.
Chercher à vivre l’instant présent c’est chercher à profiter intensément de la vie.
C’est chercher à s’épanouir pleinement en faisant abstraction de toutes les formes de pollutions présentes dans notre environnement qui viennent perturber le fait de réussir à profiter de chaque petit plaisir, de chaque émotion en étant bien conscient.
Le livre best seller d’Eckhart Tolle «Le pouvoir du moment présent » est justement dédié à tous les bienfaits que l’on peut tirer de cette façon d’aborder la vie.
On peut considérer que vivre pleinement l’instant présent est une façon d’oser prendre des risques, de sortir de sa zone de confort non pas parce que cela est risqué ou périlleux, mais plus car c’est contre nature.
En temps normal, nous nous laissons emporter par le cycle infernal de notre cerveau qui ne cesse de penser, d’anticiper et de se projeter.
Rares sont ceux qui ont conscience de cette dépendance que nous avons tous. Pourtant l’auteur nous explique dans son ouvrage qu’il est possible d’atténuer voire de supprimer nos souffrances grâce à un état d’éveil conscient.
En parvenant à vivre pleinement dans l’instant, on s’autorise le droit à l’évolution personnelle vers l’épanouissement.
Quitter sa zone de confort aujourd’hui pour ne rien regretter demain
Prendre le temps de se projeter pour ne rien regretter
Si la capacité de profiter et de vivre l’instant présent est une clé certaine pour s’épanouir, il faut cependant nuancer.
Le danger de vivre trop dans le présent est d’oublier totalement que la vie passe.
Paradoxalement, le fait d’avoir une vision sur le long terme, d’être capable de se projeter dans notre existence future donne de la valeur au temps qui s’écoule.
La vie n’a un prix que parce que nous savons qu’elle n’est pas éternelle.
Comme nous avons toutes et tous conscience que nous sommes mortels, nous devons avoir conscience que nous pouvons finir notre vie avec des regrets.
Savoir que l’on peut quitter ce monde en regrettant ne pas avoir eu le temps de réaliser nos rêves peut être un formidable outil pour nous motiver à oser nous mettre dans l’inconfort.
Si nous sommes motivés par le fait de réaliser un de nos rêves, c’est le prix à payer sous peine de le regretter un jour !
Mourir avec des remords peut être assimilé à quitter ce monde avec un sentiment de culpabilité.
Se sentir coupable de ne pas avoir osé prendre un risque, accepter le changement ou braver nos peurs.
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Bronnie Ware le sait mieux que personne
Le témoignage de Bronnie Ware est sans doute le plébiscite le plus motivant que l’on puisse écouter pour se motiver à vivre sa vie à 100 %.
Bronnie Ware était une infirmière australienne en soins palliatifs qui accompagnait donc les personnes dans leurs derniers moments de vie.
Elle relata tous les enseignements que ses échanges avec ses patients arrivant au bout de leur existence, lui avaient confiés pendant toutes ces années.
Elle aboutit à synthétiser les 5 regrets majeurs que nous pourrions très probablement avoir nous aussi si nous n’y prenons pas garde :
- J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais et non comme les autres l’entendaient
- Je regrette avoir travaillé aussi dur
- J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments
- Je regrette d’avoir perdu certains amis de vue
- J’aurais aimé m’accorder plus de temps pour mon propre bonheur
Conclusion
Pour conclure nous pouvons nous accorder à dire qu’il est certes très important de se demander « qu’est ce que la zone de confort« , mais qu’il est tout aussi crucial de s’interroger sur ses motivations.
Sans une raison suffisamment forte et motivante, il est fort probable que nos intentions ne soient pas suivies des faits? Le fait de SAVOIR comment dépasser ses limites, ne sert à rien s’il n’est pas suivi d’actions significatives.
Mais si cette inaction peut nous empêcher de réaliser nos rêves et quitter ce monde avec des regrets, elle peut également avoir des effets négatifs sur notre vie au présent.
C’est par l’action que l’on se réalise, et s’abstenir systématiquement d’agir peut engendrer le manque de confiance en soi.
A la longue, on en vient à douter de tout à commencer de nous-même.
C’est simple, il vaut mieux essayer et prendre le risque que sa foire, que de ne pas essayer et d’avoir des regrets 😉
On est bien d’accord Rémi ! 😉
Je suis tellement contente de pouvoir lire des articles comme celui-ci qui m’apportent différentes vision des choses. Il me permet de prendre de la hauteur et en même temps d’aller droit au but 🙂 Merci
Merci pour vos encouragements Valériane, cela me fait plaisir 🙂
Comme d’habitude cet article est puissant et plein de vérités profondes. Votre voyage est extraordinaire et pour en avoir fait également quelques parties, j’en ai eu la chair de poule. En tout cas il faut vivre pleinement et se jeter à l’eau, certes avec raison et discernement, mais pour apprendre à nager, rien de mieux que s’immerger …
Le risque serait de passer de expériences extraordinaires 🙂. Merci pour ce retour Eric !
Merci pour cet article Nico. J’adore cette approche des petits pas vers le changement. Je découvre ton blog à cette occasion et ça me donne envie de tout lire !!!
Oh lala ! Merci Muriel pour ce retour qui me va droit au coeur 🙂. N’hésitez pas à parcourir le blog et à me faire un retour j’essaie de répondre dans la semaine au max (quand je ne passe pas à travers…) 🙂
Avoir peur et le faire quand même ! J’essaie de respecter ça pour chaque décision et action 🙂
C’est marrant que tu mettes une citation de Mark Twain. Si je me souviens bien, il en a une autre qui parle justement des peurs.
C’était quelque chose du genre « Je suis un vieil homme et j’ai connu beaucoup de problèmes, mais la plupart d’entre eux ne se sont jamais produits. »
Merci pour cet article !
J’aime beaucoup cette citation Kevin ! Merci pour le partage qui résume finalement assez bien l’article 🙂
Un super article qui résume bien, bien rédigé, et surtout sans fautes…
Effectivement, si on sort pas de sa zone de confort, c’est impossible de changer.
Concernant la peur j’ai une expression fétiche « La peur est le premier de nombreux ennemis ».
J’ai un projet de voyage en van au Japon, en dehors des sentiers battus. Avec mon faible niveau de japonais, et le fait que les japonais ne parlent pas anglais, je vais devoir obligatoirement parler avec les gens. J’ai peur, mais je vais « le faire quand même » comme dirait un certain Olivier !
Bon pour ça y faut que le Japon ouvre à nouveau ses frontières aux touristes et que mes finances suivent…
a+
Benoit
a+
Effectivement Benoit je vous comprends à 100% ! « La magie se situe au-delà de nos peurs ». Je vous souhaite de réaliser votre rêve, de partir à la découverte du Japon et par là même… à la découverte de vous-même !
Bonjour,
Super article qui renforce ma conviction que les voyages ouvrent l’esprit et le choix des possibles… Je viens de sortir de ma zone de confort en me laissant dans une grande aventure alors chaque ligne de cet article a résonné en moi.
Merci.
Merci pour ce retour enthousiaste Sara ! Je suis certain que l’adrénaline de notre projet vous aidera à sortir de votre zone de confort.
Réalisant tous les avantages de sortir de ma zone de confort, je pense à mes plus petits actes de courage, mais vraiment aux plus petits. Par exemple, préparer un repas non conventionnel pour la première fois. Lorsque je suis motivée pour le faire et que j’ai recherché que les produits sont compatibles avec tous ceux qui en bénéficieront, le résultat est excellent. Sans parler d’un voyage ou de quelque chose de plus grand. Merci pour ce très bon article !
Sortir de sa zone de confort est une attitude qui peut se faire à tous les niveaux et à tous les instants de la vie je pense… Donc Bravo !! Merci pour ce partage Genka !
Merci pour ce rappel humain de toujours avancer 🙏.
Merci pour ce retour Alice 🙂
Le sujet est tout à fait pertinent, car je ne compte pas le nombre de fois où je suis tombé sur les réseaux sociaux sur des personnes qui me prenaient pour un sadique quand je leur conseillais de quitter leur zone de confort… 🙄
Et comme toujours ici, il est très bien traité, ce qui ne gâche rien !
Merci Alex pour ce retour et ces compliments 🙂🙂