Vous ĂȘtes vous dĂ©jĂ imaginĂ© mourir avec des regrets ?
Vous ĂȘtes vous dĂ©jĂ imaginĂ© quitter ce monde sans avoir pu rĂ©alisĂ© ou au minimum tenter de rĂ©aliser vos rĂȘves ?
Bronnie Ware, Ă©tait une infirmiĂšre en soins palliatifs qui accompagnait ses patients mourants, en fin de vie jusquâĂ leur dernier souffle.
Si elle est cĂ©lĂšbre aujourdâhui, câest prĂ©cisĂ©ment pour ses rĂ©cits mentionnant les derniers regrets quâelle entendait le plus rĂ©guliĂšrement Ă©voquĂ©s par les personnes sur leur lit de mort.
Au final, ses Ă©crits motivent quiconque Ă reprendre confiance en soi pour changer de vie avant qu’il ne soit trop tard pour rĂ©aliser ses rĂȘves.
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Au travers de cette conférence, il est possible de synthétiser les 10 conseils que Bronnie Ware nous donne pour vivre le présent sans avoir de regrets.
Table of Contents
Trouver sa vocation pour vivre sans regrets ni remords
Le premier des conseils que Bronnie Ware donne dâaprĂšs son vĂ©cu et son expĂ©rience est de se mettre en quĂȘte de sa vĂ©ritable « mission de vie ».
En Ă©voquant sa propre histoire, elle nous explique clairement que pour celui ou celle qui dĂ©sire vraiment sâĂ©panouir dans sa vie professionnelle, il est crucial de trouver sa vocation.
On peut noter dâailleurs que ce conseil est Ă©galement valable sur le plan de la vie personnelle.
« Donc jâai pris ce travail dâinfirmiĂšre Ă domicile. La dame dont je mâoccupais est entrĂ©e en phase terminale. AprĂšs cela lâagence mâa dit que jâavais fait du bon travail. Mais je voulais mâentraĂźner davantage, et trĂšs vite jâai commencĂ© ce travail. Je nâavais jamais travaillĂ© dans le secteur mĂ©dical, et jây ai trouvĂ© ma vocation. »
Le dictionnaire définit le terme de vocation de deux façons :
« Mouvement intérieur par lequel on se sent appelé par Dieu »
et « Inclination, penchant pour une profession ».
Dans les deux cas, on ressent que cette conviction, que cette certitude que lâon est fait pour une activitĂ©, vient de son propre cĆur.
Son tĂ©moignage est la preuve que savoir Ă©couter ses Ă©motions, et quâavoir le courage de suivre lâirrationnel peut nous amener Ă changer de vie et surtout Ă Ă©viter dâexister de façon contrariĂ©e.
Relativiser et ApprĂ©cier son bonheur en vivant dans lâinstant prĂ©sent
Le deuxiĂšme conseil que Bronnie Ware nous donne, est centrĂ© sur lâĂ©tat de dâesprit que lâon entretient au quotidien.
Il ne tient quâĂ nous de voir le verre Ă moitiĂ© plein.
Il ne tient quâĂ nous de considĂ©rer malgrĂ© tout les aspects positifs dâune situation, lĂ oĂč tout le monde ne concentrerait son attention que sur les aspects nĂ©gatifs.
« Les patients dont je mâoccupais savaient quâils Ă©taient malades, quâil ne leur restait quâentre 3 et 12 semaines Ă vivre, ils rentraient pour finir leurs jours chez eux, et jâĂ©tais avec eux.
⊠Mon rĂŽle clĂ© Ă©tait dâĂȘtre Ă lâĂ©coute, et Ă lâĂ©poque je nâavais pas conscience que tous mes souhaits se rĂ©alisaient grĂące aux « professeurs » que jâavais. »
Le fait de prendre en considération certains aspects de la réalité qui nous entoure permet à quiconque de prendre de la hauteur.
En prenant conscience quâil existe toujours pire que nos malheurs, nous attĂ©nuons notre douleur (souvent futile).
La seule dĂ©marche Ă entamer est de mettre en parallĂšle les choses de la vie. Si on y pense bien nâimporte quelle dĂ©ception est relative !
Câest surtout lâimportance que nous donnons Ă nos malheurs qui fait la perception que notre cerveau en a.
Apprendre des leçons de vie pour ne plus se plaindre
Si pour Corneille « aux Ăąmes bien nĂ©es, la valeur nâattend pas le nombre des annĂ©es », pour la majeure partie des gens lâexpĂ©rience est une qualitĂ© qui contrebalance la fougue et lâenvie de la jeunesse.
Dans sa confĂ©rence, lâinfirmiĂšre avoue :
« Jâai rĂ©alisĂ© que jâavais de la chance dâentendre ces leçons de vie et que si je nâen tenais pas compte je le regretterais aussi.
Ayant vu cette souffrance je ne voulais pas passer par là moi aussi »
Au travers de ces mots, elle exprime parfaitement lâimportance de retenir les leçons de la vie pour ne plus avoir Ă se plaindre pour les mĂȘmes causes.
Nous sommes tous amenĂ©s Ă faire des erreurs dans nos vies et câest Ă nos dĂ©pends que nous grandissons.
Dans son cas, Bronnie Ware reconnaĂźt sa chance dâavoir pu recueillir une multitude de tĂ©moignages qui ont fait office dâapprentissages indirects.
Certes elle ne les a pas vĂ©cus elle-mĂȘme, mais le contexte dans lequel on lui a dĂ©livrĂ© ces plaintes et regrets, rend presque ces affirmations Ă©quivalentes Ă une expĂ©rience rĂ©elle.
Toute la gratitude qu’elle exprime est dĂ©jĂ une façon d’exploiter et de mettre Ă profit cette chance.
Trouver le courage dâexister pour ĂȘtre plus heureux
Si le fait de croire en ses rĂȘves est si merveilleux câest que câest un accomplissement rare dans une vie.
Si câest un accomplissement rare, câest justement car cela demande un effort, cela nĂ©cessite de ne plus se laisser porter par la vie en sortant de lâordinaire pour oser tenter lâextraordinaire.
Mais partant du principe que lâon ne suit plus ce long fleuve si tranquille quâest la vie du quotidien, on se met forcĂ©ment dans des conditions dâinconfort.
Partant de ce postulat, il est inévitable que cette démarche nécessite une forme de courage. Cesser les jérémiades pour oser tenter de se réaliser !
Câest bien le message que Bronnie Ware cherche Ă faire passer lorsquâelle dit :
« Presque tous les regrets viennent dâun manque de courage. Comment avoir le courage de vivre en suivant notre cĆur et en le respectant ? Lâune des premiĂšres choses Ă faire est dâaccepter que lâon va mourir. »
Selon elle, lâattitude Ă la portĂ©e de nâimporte qui, visant Ă Ă©couter son cĆur, est le meilleur moteur qui peut nous donner la force d’oser prendre des risques.
Et cette force de tenter, elle lâa trouvĂ©e dans sa relation Ă la vie⊠ou plutĂŽt Ă la mort !
Accepter que nous ne sommes pas Ă©ternels nâest facile pour personne mais câest la clĂ© pour vivre sans regrets, Ă 100 % le moment prĂ©sent et ne pas sombrer dans la nostalgie.
Image par vishnu vijayan de Pixabay
Vivre en conscience du temps qui passe pour vivre une vie heureuse sans regrets
Cette prise de conscience du temps qui défile tel un compte à rebours est un moteur extraordinaire.
On pourrait croire que câest une conception mĂ©lancolique de la vie alors quâau contraire câest la meilleure façon de ne pas risquer les regrets⊠une fois la fin de notre existence venue.
« Quelle que soit notre croyance sur ce quâil y a aprĂšs la mort, dans notre vie actuelle notre temps est limitĂ©.
PlutÎt que de considérer la mort comme quelque chose de sombre et de terrifiant, utilisons le comme un outil pour mieux vivre. »
Désacraliser la mort en la rendant commune et inévitable permet justement de dépasser cette dimension tragique.
Mieux que cela, lâinfirmiĂšre nous propose de nous en servir comme dâun levier pour mieux savourer la vie.
Tout passe selon elle, par une pleine prise de conscience.
Ce nâest quâaprĂšs cette dĂ©marche volontaire que lâindividu peut rĂ©ellement prĂ©tendre au fait de vivre sans regrets l’instant prĂ©sent et de profiter sa vie.
PlutĂŽt que de se lamenter sur notre sort, stopper la tyrannie de notre mental et se forcer Ă accepter les lois de lâexistence contribue Ă notre bonheur prĂ©sent.
Savoir Ă©couter son cĆur pour dissiper toute amertume
Tout comme Paulo Coelho affirme que notre rĂ©alisation personnelle passe inĂ©vitablement par le fait de savoir Ă©couter son cĆur (dans son ouvrage rĂ©fĂ©rence « L’Alchimiste« ), Bronnie Ware prĂ©sente cette dĂ©marche comme la solution pour vaincre ses peurs.
« Vous pouvez essayer de les faire taire au profit de la peur ou si vous voulez vivre une vie qui ne finit pas avec des regrets vous devez trouver le courage de suivre votre cĆur.
Il faut utiliser la mort comme un outil pour vivre. »
Plus que cela encore, selon elle notre cĆur peut nous permettre de concevoir la mort comme une notion bĂ©nĂ©fique.
En prenant conscience que nous marchons tous, dÚs le premier jour de notre vie, vers la mort, elle transforme cette fatalité en instrument utile à notre épanouissement.
Ătre indulgent avec soi-mĂȘme et faire preuve dâhumanitĂ©
DĂ©plorer certains faits ou Ă©vĂ©nements de notre vie signifie que nous vivons avec de la peine, mas câest surtout le signe que nous vivons dans le passĂ©.
Cependant se plaindre et se lamenter sur son sort est certes une attitude que lâon peut qualifier de rĂ©flexe chez certaines personnes sensibles, elle nâen demeure pas moins contre-productive.
La principale motivation (inconsciente) que nous poursuivons lorsque nous nous plaignons est une forme de soulagement.
Comme si verbaliser nos regrets et les faire connaĂźtre Ă notre entourage permettait dâĂ©vacuer une forme de frustration. Je crois rĂ©ellement que cela nous allĂšge mais cela ne dure pas.
Pour vivre sans regrets, avec sĂ©rĂ©nitĂ© et apaiser (ou faire disparaĂźtre) de façon durable cette peine Bronnie Ware nous invite Ă ĂȘtre moins exigeant avec nous-mĂȘme et avec les autres.
« Il faut ĂȘtre plus indulgent avec nous mĂȘme, avoir de la compassion pour tout le monde. Câest une force si puissante dans ce monde ! [ âŠ] ce nâest pas grave dâĂȘtre vulnĂ©rable, de ne pas ĂȘtre parfait. »
En insistant sur cette attitude, lâinfirmiĂšre considĂšre que la clĂ© pour attĂ©nuer nos regrets est dâavoir une forme dâhumanitĂ©.
Enlever la gravité aux événements de la vie est le bon comportement à adopter !
Le fait dâĂ©voluer au contact de la mort quotidiennement, lui a donnĂ© cette prise de recul sur la gravitĂ© des Ă©vĂ©nements de la vie.
Cette forme de maturitĂ© semble lâempĂȘcher de se mordre les doigts pour des bĂȘtises et de savoir faire la part des choses.
En nous invitant Ă accepter nos faiblesses, Ă tolĂ©rer le fait que nous ne sommes pas parfait nous pouvons adoucir le goĂ»t amer de nos regrets voire mĂȘme bien vivre avec.
Sâaimer sans rĂ©serve et savoir trier ses relations
Savoir sâaimer ne signifie pas forcĂ©ment ĂȘtre Ă©gocentrique ou narcissique.
Savoir sâaimer reprend lâidĂ©e que nous devons ĂȘtre indulgent avec nous-mĂȘme.
Il faut Ă©couter son cĆur et sa nature pour se faire du bien et se mettre dans de bonnes conditions.
TrĂšs souvent câest notre cerveau qui vient troubler notre harmonie intĂ©rieure. A force de trop cogiter, il peut nous faire des nĆuds et fausser lâimage que nous donne nos Ă©motions.
Car il est important de comprendre quâun ĂȘtre Ă©panoui est avant tout Ă©quilibrĂ© entre ses sentiments et sa logique.
Le modĂšle MBTI explique trĂšs bien cette coexistence chez lâĂȘtre humain, entre les Ă©motions et la logique, entre lâaffect et la raisonâŠ
Personne nâest 100 % rationnel ou 100 % dans le sentiment. Nous avons tous les deux modes en nous et nous prenons nos dĂ©cisions en intĂ©grant les deux dimensions.
Cependant, lĂ oĂč chaque ĂȘtre est diffĂ©rent, câest dans lâimportance quâil accordera Ă chacun des deux canaux.
En prenant conscience de notre état, nous faisons déjà la moitié du chemin.
Si vous ne connaissez pas votre profil psychologique parmi les 16 décrits par le modÚle MBTI, je vous suggÚre vivement de faire ce test maison. Vous commencerez par accepter certains traits de votre personnalité et vous apprendrez à mieux vous connaßtre.
RĂ©ussir Ă dominer ses Ă©motions dans le sens oĂč on ne se laisse plus entraĂźner sans prise de recul câest aussi rĂ©aliser que toutes les personnes de notre entourage ne se valent pas.
Sans, Ă lâinverse, nâĂ©couter que sa raison, il faut savoir Ă©quilibrer ses choix.
Cela doit nous amener à nous éloigner des personnes toxiques, ou du moins néfastes à notre épanouissement.
« Il faut savoir dire « non », il faut faire le tri dans ses relations, et ne garder que celles qui sont authentiques »
Quand Bronnie Ware prononce ces mots, elle fait rĂ©fĂ©rence Ă lâambiance et Ă lâatmosphĂšre dans lesquelles nous Ă©voluons au quotidien.
Comme notre personnalité influence les personnes que nous cÎtoyons au quotidien, notre équilibre intérieur est impacté (positivement ou négativement) par notre environnement.
Avoir le courage de sâĂ©loigner de personnes nĂ©gatives est une dĂ©marche qui peut ĂȘtre contre nature mais elle est bĂ©nĂ©fique.
Dans une telle situation, couper les ponts sans se repentir peut mĂȘme ĂȘtre une dĂ©cision salvatrice.
Image par John Hain de Pixabay
Sâoccuper de soi en premier et apprendre Ă recevoir (pour mieux prendre soin des autres)
En rĂ©sumĂ©, avoir le courage de mettre de la distance avec ce qui nous est nĂ©faste câest avant tout penser Ă soi.
Câest ne plus accorder autant dâimportance aux pensĂ©es des autres, Ă leurs dires et surtout Ă leurs sentiments.
Il est certain que nos décisions ont une influence sur notre environnement, mais elles ont avant tout un effet sur notre vie.
Bronnie Ware insiste sur ce point quand elle dit :
« Si vous vous occupez des autres sans vous occuper de vous, alors trÚs vite il va y avoir un déséquilibre. Cela peut mener à de la rancune puis au regret. »
Ses mots dĂ©crivent bien que cet altruisme spontanĂ© sâil nâest pas dĂ©livrĂ© consciemment peut nous amener Ă nous oublier.
Sâoublier, câest se tromper de combat⊠Câest croire quâaider son prochain suffit Ă notre bien-ĂȘtre personnel.
Si cela est effectivement bĂ©nĂ©fique, cela ne remplace pas tout et câest en ça quâil faut garder Ă lâesprit que pour ne rien regretter il faut aussi savoir ĂȘtre un peu Ă©goĂŻste !
Accepter lâidĂ©e que lâon va mourir
Le 10Ăšme conseil que Bronnie Ware nous offre, dans son intervention, est Ă mes yeux le plus important.
Plus que de prendre de la hauteur sur sa vie, il sâagit de remettre intĂ©gralement en question notre perspective.
Comme nous lâavons Ă©voquĂ© prĂ©cĂ©demment, en parallĂšle de la prise en considĂ©ration du temps qui passe, il est essentiel de prendre conscience que nous sommes des ĂȘtres mortels.
« Pour vivre une vie sans regrets, il faut se confronter au fait que lâon va mourir ! Mais on a le pouvoir de choisir. Il nous appartient dâutiliser ce pouvoir aussi sagement et intelligemment que possible. »
TĂŽt ou tard nous disparaĂźtrons et le fait de garder Ă lâesprit cette vĂ©ritĂ© implacable change notre perception des Ă©vĂ©nements de notre vie.
Certes cela ne nous permet pas de remonter le temps pour corriger nos erreurs, mais cela nous aide puissamment Ă nous concentrer sur ce qui compte vraiment : le prĂ©sent et lâavenir…
Une telle dĂ©marche doit nous permettre de savoir comment relativiser lâimportance des nos mauvais choix, nous permettre de lĂącher prise vis Ă vis de nos actions passĂ©es.
Ce qui est fait est fait et tout le temps que nous passerons Ă nous morfondre, nous plaindre et Ă regretter est du temps perdu.
Ou plutĂŽt, câest du temps gĂąchĂ©Â !
Personne nâest parfait au point de faire tout le temps les bons choix⊠Nous sommes des humains et non des Dieux !
Accepter cela câest faire un pas vers le pardon et ainsi vers un coup de balai sur nos remords.
Image par ParallelVision de Pixabay
Conclusion
Au travers de ses mots et de son tĂ©moignage, Bronnie Ware nous distille une mine de bons conseils, dâune prĂ©ciositĂ© incroyable pour savoir comment changer sa mentalitĂ© dans le prĂ©sent et finalement oser changer sa vie.
Elle qui a la « chance » de cĂŽtoyer la mort de si prĂšs est certainement lâune des mieux placĂ©es pour connaĂźtre le prix de la vie et l’importance de prendre le temps d’apprĂ©cier ses bons moments.
En relatant les tĂ©moignages quâelle recueillit jour aprĂšs jour au cours de sa carriĂšre dâinfirmiĂšre, elle nous fait un cadeau dâune valeur inestimable pouvant nous permettre de transformer le cours de notre vie et de dĂ©passer nos croyances limitantes pour vivre sans regrets et exister pleinement !
Bonjour,
Merci pour ce bel article plein de sagesse. C’est trĂšs intĂ©ressant. Pour moi, le plus difficile est de s’Ă©couter soi mĂȘme et de s’inscrire dans le prĂ©sent. Mais j’y travaille đ
Effectivement Miren ! Merci pour ce partage đ
Je suis tellement d’accord avec ces mots et ce temoignage ! Je ne sais pas si c’est mauvais, mais parfois il faut faire face Ă quelque chose de trĂšs dĂ©sagrĂ©able et de choquant pour comprendre qu’on est lĂ pour un moment. Alors on se rend compte qu’il faut vivre sa vie au max, sans le regretter un jour. Merci pour cet article !
Je n’aurais mieux rĂ©sumĂ© ce message d’apprĂ©cier les choses tant qu’on les a đ.
Merci pour ce retour Genka
Merci Nicolas pour ce partage,
pour moi, lorsque je pense Ă la mort, je pense surtout à « qu’est-ce que je veux laisser derriĂšre moi ». j’ai dĂ©jĂ fait l’exercice de visualiser mon enterrement et de ce que les personnes prĂ©sentes y disent (c’Ă©tait un exercice trĂšs puissant dans un sĂ©minaire de dĂ©veloppement personnel), et sincĂšrement, ça m’a amenĂ©e encore un peu plus sur mon chemin d’une vie riche de sens đ
Je ne connaissais pas cet exercice ! Merci pour la dĂ©couverte et merci pour ce partage Caroline đ
Super article ! Câest le genre de lecture qui remet les choses Ă leur place ; la claque ! Et que dire de plus du tĂ©moignageâ? Merci !
Merci Ă vous pour ce retour enthousiaste Xavier đ
TrĂšs inspirant ! Ce qui m’a aidĂ©e Ă mettre des actions en place vers ce que je veux vraiment c’est introspecter sur ce sujet ! Merci
Tout commence par l’intĂ©rieur de soi ! Je suis bien d’accord avec vous ValĂ©riane đ
Bronnie Ware, des paroles sages. Pour moi et pour tous-toutes ceux-celles qui sont dans la relation d’aide, c’est se rappeler souvent: « Sâoublier, câest se tromper de combat⊠Câest croire quâaider son prochain suffit Ă notre bien-ĂȘtre personnel. » Son livre « Les 5 regrets des personnes en fin de vie » et ton article qui reprend plus que 5 conseils est trĂšs utile.
Doublement Merci BĂ©nĂ©dicte ! đ Pour ce partage et ce retour positif
J’avais dĂ©jĂ lu ces arguments … mais chaque fois que je les revois leur rĂ©sonance s’amplifie et pĂ©nĂštre ma vĂ©ritĂ© de vie. Merci Nicolas đ
Merci Ă vous Eric pour ce retour đ
Nous vivons dans un monde de paradoxe sans lequel nous ne pourrions pas ressentir la.jouissance de nos Ă©motions. Alors que le sujet tourne autour de la mort, voilĂ un article plein de VIE et un appel Ă la respirer pleinement en chaque instant đ„°. Merci Nico
Merci Ă toi Virginie pour cette rĂ©flexion et ce partage đ