Vous les regardez avec une pointe d’admiration mais vous vous demandez comment ils font pour trouver le courage ? Eux, je veux parler de ceux qui ont le toupet d’oser changer de vie !
Car vous aussi vous avez parfois – souvent ? – des envies d’ailleurs ? Vous ressentez peut-être le besoin de changer de vie professionnelle ?
Parce qu’à mi-carrière, vous y trouvez moins de satisfactions et vous réalisez que vous n’êtes pas vraiment certain de votre utilité, du sens de votre travail.
Mais sans doute rangez-vous bien vite ces réflexions dans votre besace…
Après tout, auriez-vous le droit de vous plaindre de votre vie ? Ne serait-ce pas inconvenant quand on a la chance d’avoir un travail en CDI, peut-être – qui plus est – assez bien rémunéré ?
Et si je vous disais qu’ils n’ont pourtant généralement pas l’impression d’avoir fait preuve d’audace ? Que ce soit au moment de leur prise de conscience, d’en parler avec leur entourage ou de prendre la décision d’agir, ils se sont posés toutes les questions que vous vous posez.
Et s’ils ont franchi le pas, ce n’est pas par bravoure ou pour impressionner les autres. C’est parce qu’ils ont ressenti un irrésistible besoin et qu’ils se sont fait assez confiance pour l’écouter et le respecter.
La bonne nouvelle, c’est que c’est également tout à fait à votre portée ! Nul besoin d’être un pro de la confiance en soi. Et pour vous en convaincre, je vous propose de vous accompagner dans un petit voyage dans le cerveau de ceux « qui vont oser changer de vie« .
Mais attention : en lisant ce qui suit, vous pourriez finalement bien être tentés d’exercer votre pouvoir de tout changer dans votre vie. A la réflexion, serait-ce si grave ? 😉
Présentation de l’auteur :
Aujourd’hui j’accueille Alexandre, du blog 11 mois pour changer de vie, qui nous partage ses conseils pour oser se lancer, oser changer de vie et enfin trouver celle qui nous correspond !
Table of Contents
Accepter son envie de changement de vie
Céline B., 45 ans, va-t-elle oser le changement ?
Laissez moi vous parler de Céline B. Cadre dynamique dans une grande entreprise, elle mène une vie bien remplie au quotidien.
A 45 ans, elle n’a pas vraiment perdu de temps dans sa carrière. Quand elle regarde en arrière, c’est avec satisfaction qu’elle revoit les différentes étapes franchies.
Elle ne s’était pas fixé d’objectif de poste particulier à la sortie de ses études. Mais elle est certaine qu’elle aurait signé des deux mains pour obtenir en moins de 20 ans le poste de Directrice Monde des Achats de sa société !
Oui, Céline est fière d’elle. Et légitimement ! Sans compter qu’elle est également l’heureuse maman de deux grandes filles qui prennent un bon départ dans la vie…
La petite voix du changement
Mais d’où vient alors cette petite voix intérieure qui lui souffle depuis quelques temps des questions bien embarrassantes ?
Tenez, pas plus tard qu’hier, quand elle a essayé de batailler – en vain – contre la dernière formation en ligne sur les cadeaux offerts, que son entreprise veut faire suivre à toute son équipe.
Elle a bien essayé d’expliquer que des acheteurs ne font pas de cadeaux à leurs fournisseurs, mais rien à faire : « directive corporate« …
Oh ce n’est pas la première fois que Céline s’agite contre des moulins à vent. Mais d’habitude, elle finissait par rire du ridicule de la situation. Plus maintenant.
Devant ce genre de contrariétés (qui se sont multipliées dernièrement), elle ne peut s’empêcher de s’interroger sur sa réelle marge de manœuvre.
Pire, elle en vient à penser que son poste n’apporte peut-être pas la « contribution au monde » qu’elle imaginait quand elle a été nommée…
Et de fil en aiguille, elle se pose la question qu’elle ne pensait jamais se poser : et si le moment était venu de partir ? De quitter la seule entreprise qu’elle a connu dans sa carrière pour enfin aller vers son bonheur ?
Mais pas forcément pour la concurrence… car est-elle bien certaine d’avoir envie de poursuivre dans les Achats ? Petite, elle rêvait d’être vétérinaire, alors ce n’est pas exactement « le métier de ses rêves » !
Plutôt celui qui s’est imposé au fil de sa réussite scolaire, de ses études brillantes, puis des promotions qui se sont enchaînées.
A bien y réfléchir, elle ne l’a jamais vraiment choisi, ce poste auquel elle sacrifie tant de temps…
Retour rapide à la raison
Généralement, c’est à ce moment de ses réflexions que la voix de sa conscience la ramène dans le droit chemin. Qu’est-elle en train de faire ?
Envisage-t-elle vraiment de tout remettre en cause pour une simple histoire de formation ? Tout ce pour quoi elle s’est battue ces dernières années ?
Bien sûr que non… Oser changer de vie, ce ne serait vraiment pas raisonnable de sa part. Comment retrouverait-elle un poste aussi bien rémunéré ? Sans parler de la sensation de pouvoir qu’il lui procure !
D’accord, tout n’est pas rose tous les jours. Mais l’herbe n’est probablement pas plus verte ailleurs.
Et puis franchement, elle ne va pas reprendre des études de vétérinaire, si ? A quoi pense-t-elle… elle ne sait même pas si elle serait capable de faire autre chose que son métier actuel !
Céline pousse un long soupir et se reproche intérieurement de perdre du temps à des bêtises.
Ce n’est quand même pas à son âge qu’elle va courir après des rêves. Qu’est-ce qui lui arrive ?
Elle se promet de se coucher plus tôt ce soir et de prendre le temps de se changer les idées ce week-end. Ca ira sûrement mieux après !
Respecter votre propre « prise de conscience »
Pourquoi ne pas plutôt envisager que ce spleen soit légitime ?
Pourquoi ne pas se faire confiance pour savoir ce qui pourrait être bon pour soi, comme le recommande par exemple Christine Marsan, l’auteur du livre « Oser changer sa vie« ?
Est-il vraiment plus raisonnable de couper court à tout débat que d’accorder un peu de temps à cette réflexion ?
Après tout, quel risque prend-t-on à laisser du temps au temps ? A revenir régulièrement à ce questionnement pour le sonder, évaluer sa force ?
C’est peut-être bien une lubie, effectivement. Un petit coup de blues lié à un peu (beaucoup ?) de fatigue. Mais si c’est le cas, on s’en rendra compte bien vite, non ?
Et si, au contraire, on se retrouve à court d’arguments pour museler son subconscient, n’est-ce pas qu’il n’a probablement pas tous les torts ?
A ce stade, il ne s’agit que de garder cette analyse pour soi.
Et tous ceux qui ont osé changer de vie ont commencé par avoir ce courage, qui n’a vraiment rien d’extraordinaire : affronter ses peurs et donner sa chance à cette petite voix intérieure. La confronter et voir ce qu’elle a dans le ventre.
Faites le test pour découvrir votre personnalité et faire le bilan de votre situation.
Trouver le courage d’en parler autour de soi
Pourquoi révéler son besoin de changement ?
Mais que se passe-il si on finit par se convaincre que cette envie d’ailleurs est légitime ? Généralement, il faut envisager de faire son coming-out en en parlant à ses proches.
D’abord parce que ce dialogue interne aura probablement ses limites. Vous êtes maintenant persuadé que quelque chose ne va pas si bien que ça dans votre vie ?
Il y a de grandes chances qu’oser changer de vie ait un impact sur d’autres personnes autour de vous (conjoint et enfants en premier lieu).
Vous pourrez donc difficilement prendre une décision sans en discuter au préalable avec ces personnes.
Et là aussi, vous allez être tenté de mettre votre mouchoir dans votre poches. Et plutôt deux fois qu’une !
Oui, cette étape requiert un peu de courage. Car même sans être esclave du regard des autres, il est légitime de se soucier de la réaction de ceux qui comptent pour nous.
S’il vous a fallu du temps pour en arriver à la conclusion que vous deviez changer de vie, ce sera probablement leur cas.
Et vous craindrez sûrement de devoir affronter leur incompréhension voire pire, leur désapprobation. C’est effectivement un risque…
Mais si les choses sont désormais claires pour vous, vous ne devriez à vrai dire pas hésiter. Si vous ressentez un vrai besoin de changer, vous devez trouver le courage nécessaire pour en parler autour de vous.
Avec qui en parler ?
Mais attention, pas à n’importe qui ! Car en majorité, les gens n’essaieront pas de se mettre à votre place, mais réagiront avec leur vision des choses.
Et la plupart d’entre eux ne s’imaginent pas, mais alors pas du tout, quitter leur zone de confort !
Il y a deux catégories de personnes à qui vous devriez en parler :
-
les personnes directement concernées par votre (encore) hypothétique changement de vie
-
les personnes en qui vous avez confiance pour réagir positivement, qui cherchent avant tout à vous aider et pas à vous tirer vers le fond
Vos parents vous ont toujours rabâché que « vous n’y arriveriez pas » ?
Ils ne seront sûrement pas de bons conseils !
A la vérité, c’est le moment de faire le tri dans vos relations. Et de ne pas aborder le sujet avec ceux qui ne le comprendront pas.
Un point à bien garder en tête : comme je l’ai écrit au-dessus, à ce stade, votre changement de vie reste une hypothèse. Que vous cherchez à valider en la confrontant à des personnes bienveillantes.
Vous n’êtes pas en train de leur annoncer une décision irrévocable. Cela devrait vous aider à vous lancer ! 😉
Comment gérer les désaccords ?
Et une fois que la bombe est lâchée ? Eh bien c’est le moment de faire tourner à plein régime votre merveilleux sens de l’écoute empathique ! Souvenez-vous que vous sollicitez un avis. Et restez ouvert aux retours auxquels vous ne vous attendiez pas ou qui ne vont pas dans votre sens.
Evitez de réagir à chaud :
-
vous risqueriez de dissuader vos interlocuteurs de vous dire ce qu’ils ont sur le cœur
-
vous devez leur laisser le temps de digérer votre besoin de changement
L’idéal est d’amorcer la conversation, d’écouter leurs réactions puis de proposer de reprendre la discussion un peu plus tard.
Cette phase peut prendre plus ou moins longtemps. Selon que votre entourage adhère initialement à votre position ou non. Soyez patient.
Et il est possible que vous ne puissiez finalement pas trouver un terrain d’entente. Il faut s’y préparer psychologiquement.
Cela ne signifie pas pour autant que vous soyez condamné à rester prisonnier de cette vie qui ne vous convient plus, au détriment de votre santé !
Si vous êtes déterminé à changer de vie au point d’avoir osé « l’afficher en public », j’ai une bonne nouvelle pour vous ! Vous y arriverez sûrement, d’une façon ou d’une autre.
Une fois l’idée bien ancrée dans votre tête, faites-vous confiance pour trouver une autre solution. Vous serez désormais à l’affût des opportunités, et cela fera toute la différence !
La dernière possibilité est que ceux qui vous sont chers finissent par vous convaincre que vous avez fait fausse route. Il n’y aurait aucune honte à ça !
C’est tout l’intérêt de croiser plusieurs avis, et peut-être vont-ils percevoir des choses qui vous ont échappé.
Si cela vous permet de retrouver de la motivation dans votre vie actuelle, c’est parfait ! Soyez juste vigilant à ne pas vous mentir à vous-même.
A ne pas vous rallier à l’avis commun sans être parfaitement persuadé. Mieux vaut un désaccord clairement établi (le cas précédent) qu’un consensus mou ! 😉
Osez changer de vie : passez à l’action !
Vous étiez convaincu de votre besoin de changer d’air au point d’en parler à vos proches, et ils ont fini par vous donner leur bénédiction ?
Bien ! Respirez un bon coup et resservez-vous un verre de cet excellent Gewurztraminer, vous l’avez bien mérité ! 😉
C’est fait ? Parfait ! Il vous reste désormais une toute petite étape. Celle de prendre la décision d’y aller.
Mais au fait, aller où, exactement ?
Par où commencer ?
Au risque de donner l’impression de botter en touche, la réponse est évidemment en vous. Car la prochaine destination dépendra de votre nouveau projet de vie. Avez-vous envie de :
-
changer de région ?
-
déménager à l’étranger ?
-
trouver un nouvel employeur chez qui vous épanouir à nouveau ?
-
vous mettre à votre compte en tant que freelance si vos compétences vous le permettent ?
-
tenter la carte de la reconversion professionnelle pour renouer avec vos rêves d’enfance ?
Autant de destinations séduisantes qui nécessiteront des parcours différents. Il sort malheureusement du cadre de cet article d’y répondre dans le détail !
Mais toutes ont un point commun, je vous le garantis : il va falloir transformer ce rêve (d’abord individuel, puis maintenant collectif) en réalité. Il va falloir vous attirer le meilleur !
Cela passe par prendre une décision (pas forcément irréversible) puis se mettre dans l’action.
Et il est probable que vous hésitiez à nouveau fortement au moment de :
-
rencontrer votre employeur pour lui proposer une rupture conventionnelle
-
annoncer à vos parents que leurs prochaines retrouvailles avec leurs petits-enfants seront par webcam depuis Sydney
-
etc…
Rassurez-vous : vous avez déjà fait l’essentiel du chemin !
Il est normal d’avoir peur de changer de vie, mais si vous êtes sûr de vous et que vous avez l’aval de votre famille proche, rien ne devrait vous arrêter.
Bien sûr, il existe probablement plein d’incertitudes dans votre projet, voire plein de risques. C’est génial, cela promet de prochaines années d’autant plus piquantes !
C’est le moment de vous souvenir de tous les arguments qui font de ce changement de vie radical une évidence pour vous.
Et d’oser vous faire confiance pour savoir mieux que les autres ce qui est bon pour vous et pour votre famille !
Un plan d’action pour oser changer de vie
Cela ne veut toutefois pas dire qu’il faut se laisser griser par le pouvoir de tout changer. Je ne suis pas en train de vous recommander de tout plaquer sur un coup de tête !
Si vous avez suivi le processus que je vous recommande, votre réflexion vous aura probablement pris quelques semaines, voire quelques mois. Ca limite les risques de s’emballer !
Alors une fois votre décision prise, un conseil : ne perdez pas de temps à passer à l’action ! Car croyez-moi, la procrastination vous guette.
Et elle n’apprécie rien tant que ces grands projets si appétissants, mais qui ressemblent fort à une montagne quand on décide de s’y attaquer !
Pour éviter cet écueil, il n’y a pas 36 solutions : il faut avoir un plan d’attaque et découper votre grand projet en petites actions.
Que vous pourrez faire avancer chaque jour ou au pire chaque semaine.
Là non plus, il ne faudra pas mollir. Car c’est humain, devant la première difficulté, votre esprit risque de vous dire « pouce ».
Rappelez-vous une nouvelle fois les motivations qui vous ont porté jusqu’ici. Vous n’allez quand même pas craquer à deux mètres du bol de sangria, si ? 😉
Faites confiance à votre force de caractère et tracez votre chemin sans jamais regarder en arrière. A ce stade, vous êtes forcément dans le vrai et il n’est plus temps de tergiverser, mais d’avancer.
Vous vous le devez, ainsi qu’à vos proches qui vous font déjà confiance. Et vous avez déjà annoncé publiquement votre décision. Autant d’excellentes raisons de persévérer encore et encore.
C’est à ce prix qu’il est possible de trouver son chemin de vie. Et il sera alors temps de regarder le chemin parcouru et d’annoncer fièrement :
« J’adore quand un plan se déroule sans accroc ! »
John « Hannibal » Smith (L’Agence Tous Risques)
L’année sabbatique : un joker inattendu !
Pour autant, que faire si votre employeur ne se montre pas particulièrement conciliant ?
S’il n’est pas prêt à accepter une rupture conventionnelle, faut-il absolument se résoudre à une démission pure et dure ? Et repartir dans la vie sans indemnités et sans droits au chômage ?
Pas forcément. Vous avez alors, en France, la possibilité de prendre une autre décision : celle de prendre une année sabbatique.
Un véritable couteau suisse
Oui, oui, je sais. La majorité des personnes qui décident de faire un tel break s’en servent pour voyager, loin de préférence.
Mais ce n’est pas la seule option offerte par un congé sabbatique ou une mise en disponibilité, loin de là !
Si vous avez envie de changer de vie, une année sabbatique peut vous procurer un terrain de jeu idéal. Elle ouvre les portes à toutes sortes d’activités :
-
découverte de nouvelles activités
-
développement personnel pour renforcer sa confiance en soi
-
formation à un nouveau métier
-
et même prise de poste chez un nouvel employeur pour vous faire la main !
Bien sûr, c’est un congé sans solde et il faudra donc solliciter un minimum vos économies. Mais pas plus que si vous envisagiez de démissionner ! 😉
Et elle offre l’immense avantage de procurer une corde de rappel si jamais vous réalisiez que vous avez fait fausse route.
De ce fait, elle peut même être recommandée comme première option si vous ressentez encore quelques doutes par rapport à votre projet.
J’ai testé le congé sabbatique pour changer de vie
C’est l’option que j’ai personnellement choisie avant de confirmer mon envie de changer. J’ai utilisé un congé sabbatique de 11 mois pour me former au blogging et décider que j’allais en faire ma nouvelle activité professionnelle principale.
J’ai ainsi le privilège de pouvoir aider, sur mon blog, d’autres personnes à oser changer de vie et réaliser leurs rêves. Et c’est une mission qui me donne une énorme motivation et m’a porté dans mon projet.
Mais là aussi, il vous faudra probablement prendre une grande inspiration avant de décider que c’est l’option qui vous convient.
Car il existe plein d’idées reçues sur l’année sabbatique… mais autant de mauvaises raisons de vous retenir ! En effet, elles sont presque toutes infondées.
C’est vraiment une solution idéale quand on préfère garder un joker ou quand la seule alternative est une démission précipitée. Vous devriez vraiment y réfléchir sérieusement ! 🙂
Oser changer de vie : que retenir ?
Vous ne pensez pas avoir le courage de changer de vie, et cela vous frustre. Car vous sentez bien que vous n’êtes pas en train de vivre la vie de vos rêves. Que vous n’avez jamais vraiment pu choisir ce que vous vouliez faire de votre vie…
Je sais parfaitement ce que vous ressentez. Avant de prendre une année sabbatique, j’étais dans la même situation et je ne pensais honnêtement pas oser prendre des risques et oser changer.
Mais je vous ai montré dans cet article qu’il n’était finalement pas si compliqué de trouver le courage de changer de vie et de vivre sans regrets.
Il s’agit avant tout de se faire assez confiance pour s’accorder le temps de la réflexion. Puis, tout en conservant une bonne attitude, de s’ouvrir à ceux qui nous sont chers et sont directement concernés.
Enfin de confirmer sa décision et de battre le fer tant qu’il est encore chaud en passant à l’action.
Vous le voyez, rien de bien extraordinaire. Et ce sont pourtant par ces étapes que sont passés tous ceux qui ont osé changer de vie avant vous.
Et croyez-moi, ils sont bien plus nombreux que vous ne le pensez !
Alors qu’en pensez-vous ? Etes-vous désormais convaincu qu’une autre vie est possible ? Vous sentez-vous suffisamment armé pour ne pas abandonner votre idéal et relever le défi ?
Si vous avez déjà franchi le pas, faites-nous part des astuces qui vous ont aidé dans les commentaires ci-dessous.
Si vous hésitez encore, dites-nous ce qui vous retient ! Et n’hésitez pas à venir faire un tour sur mon blog, il y a plein de ressources pour vous soutenir. 😉
J’encourage moi-même le plus de personnes de personnes possible à changer de vie car je vois tous les jours les même plaintes sur le fait de ne pas aimer son travail voir sa vie en général. Il faut oser et ne pas hésiter à ce renseigner sur des blogs comme le tien pour commencer à nourir le déclic et que la graine devienne un arbriseau. Et comment à l’entretenir petit à petit pour faire du rêve la réalité. Patience et efforts, oser changer ses habitudes et ses relations, il n’y a rien de si insurmontable quand on prends un peu le temps de manger du bon savoir 🙂
Pour les relations, ce qui m’a le plus aidé à en parler librement et sans me prendre la tête c’est la communication non violente comme expliquer dans Cessez d’etre gentils, soyez vrai que je cite souvent sur mon site, c’est le meilleur moyen pour moi d’avoir amélioré mes relations. Mais pas seulement, les quatre accords tolthèque peuvent aussi être très bénéfique en plus d’être très simple à comprendre (mais difficile à mettre en place).
Merci pour cet article, j’espère qu’il motivera des personnes à ce lancer dans cette aventure géniale de sortir de sa zone de confort
Merci pour ton commentaire, David. Je suis l’auteur de cet article et je ne peux qu’être d’accord avec toi : il ne faut pas se résigner à une vie qui ne nous convient pas et abandonner ses rêves. Changer de vie est à la portée de pratiquement tout le monde.
J’ai lu et beaucoup apprécié « Cessez d’être gentil », même si je n’ai pas toujours été couronné de succès dans son application 😉 Il faudra que je lise « Les Accords Toltèques » !
Merci pour la réponse Alex ! 😊
Merci Alex et Nicolas pour cet article. Il est vrai qu’un changement de vie peut faire peur. D’ailleurs, c’est une bonne chose car cela permet de ne pas faire n’importe quoi non plus. C’est une décision qui mérite un minimum de réflexion. Néanmoins, il ne faut pas que cette peur paralyse non plus. De mon côté, j’ai sauté le pas mais uniquement par ce que j’ai évalué les risques et les bénéfices selon ma grille. Je ne le regrette pas. Je me sens à ma place. Je confirme aussi qu’il ne faut pas s’arrêter aux remarques de l’entourage pour prendre sa décision, d’autant plus s’il n’est pas impacté (pour le conjoint ou les enfants, c’est encore différent). Il s’agit de notre vie, de notre décision. C’est d’ailleurs ainsi que l’ont considéré les entrepreneures que j’ai interviewées. Sinon, elles n’auraient jamais sauté le pas.
Merci Sophie ! Les interviews que tu réalises sur ton blog sont très intéressantes et mettent effectivement bien en évidence cette nécessité de faire abstractions des peurs de son entourage.
Merci pour ton retour Sophie ! 😊
Bonjour Alexandre et Nico,
Cet article me parle vraiment. J’ai déjà franchie beaucoup beaucoup d’étapes, mais difficile de passé à l’action avec une famille de 4 enfants (financièrement parlant).
Le processus est lancé et nous espérons qu’un jour, mon blog rapport et que mon mari puisse lâcher son job.
Changer de vie, oui, mais pas n’importe comment !!!!
Merci pour ton témoignage, Shirley. Oui bien sûr, il y a des situations où c’est plus simple que d’autres de changer de vie. Et les finances jouent souvent un rôle important car peu d’entre nous ont atteint la fameuse « indépendance financière ».
Mais tu démontres que quand on est déterminé, on trouve toujours un moyen de poursuivre ses rêves. Je te souhaite que ton courage soit récompensé mais quoi qu’il en soit, tu auras l’immense satisfaction d’avoir essayé et de ne pas t’être résolue à subir ! 🙂
Pour compléter la réponse d’ALEX je suis d’accord avec toi à 100% Shirley ! Se lancer « oui » mais pas en brulant ses bateaux… Surtout avec une famille nombreuse. Merci pour ton partage !
J’ai changé moi aussi de vie à 45 ans, suite à un burnout, j’étais prof à plein temps, j’ai démissionné. J’ai seulement réussi à le faire grâce au soutien de ma famille et notamment de mon mari. Aujourd’hui, je suis prof indépendante, je gère mes horaires donc je suis désormais loin du burn-out. Pourtant le changement de vie a des contraintes et ne se passe pas sans encombres, j’ai ainsi laissé tomber un CDI avec une certaine aisance de statut et de salaire pour une vie d’indépendante, souvent seule, et qui doit se débrouiller pour avoir son salaire, rien n’est jamais garanti ! Mais je ne regrette mon choix pour rien au monde car dans mon cas il n’y avait pas trop le choix, La santé reste notre bien le plus précieux! Avantage: je n’ai plus de boss derrière qui me harcèle si le travail n’est pas fait. Désavantage: je n’ai plus de boss derrière qui me harcèle si le travail n’est pas fait 😊
J’aime beaucoup ton commentaire, Lara ! Je suis l’auteur de l’article et je te donne 100% raison : oser changer de vie est formidable lorsque c’est ce dont on a fondamentalement besoin, mais personne n’a dit que ce serait simple, malheureusement… Et on se rend compte qu’il y a parfois aussi de bonnes choses qu’on laisse derrière nous (comme un boss qui te « harcèle » 😉).
Je ne peux que repenser à cette citation d’Anatole France que j’ai commentée il y a peu sur mon blog : « Tous les changements, même les plus souhaités, ont leur mélancolie, car ce que nous quittons, c’est une partie de nous-mêmes ; il faut mourir à une vie pour entrer dans une autre ».
Pour compléter les remarques d’Alex, je te donne ma vision des événements de la vie (accidents de la vie) : c’est le corps qui en dernier recours te laisse une dernière chance de comprendre ton chemin de vie… La direction de la vie de TES rêves ! 🙂 Merci pour ton retour en tous cas
Excellent article. Oser changer de vie quand on est lié par le matériel et la famille c est très compliqué. Le poids des responsabilité nous bloque très souvent. Les factures a payer… les enfants a elever… mais ce que je retiens c est que même si ça peut prendre du temps ce qui compte c’est d’avoir un plan d’actions qui te rapproche petit à petit de ce changement de vie. Si on ne fait rien soit on est pleins de regrets soit on craque. Tous ces burn-out c est pas sans raison !
Effectivement Elise !! L’important est de trouver ses propres motivations. Personnellement j’aime bien l’expression qu’utilise Paulo Coelho dans son livre « L’Alchimiste » : « il faut écrire sa légende personnelle ». Et pour cela l’article d’Alexandre donne quelques pistes. Merci pour ton commentaire.
Tout à fait, Elise. Mieux vaut commencer par planifier et engager les petits pas que l’on est en mesure de faire que de ne jamais oser se lancer.
Il est certain qu’il est plus facile de changer de vie à 30 ans, si on a pas d’attaches, qu’à 45 ans, avec 3 enfants et un crédit sur le dos.
Mais même dans ce second cas, il est généralement possible de trouver des solutions pour se redonner un peu d’oxygène et se rapprocher de ses rêves. 🙂
Bravo Alexandre pour cet article motivant. « Changer de vie », ce n’est pas quelque chose qui se fait en un claquement de doigts et donc, comme tu l’expliques si bien, il est bon de toujours s’écouter pour se rappeler pourquoi on entreprend ce changement. Comme le dit si souvent Nico, la confiance en soi vient de la connaissance de soi… Merci à tous les deux pour ce coup de boost.
Merci Virgo ! Oui tu as raison : il faut non seulement savoir s’écouter, mais aussi bien se souvenir des arguments qui nous ont décidé à nous lancer dans cette formidable (mais parfois difficile) aventure, afin de rester persévérant !
Merci à toi Virgo pour ton partage 😊 !
Merci pour cet article !
Oui oser changer de vie n’est pas facile et demande du courage et des efforts. C’est pourquoi il y a souvent un élément déclencheur qui permet de faire le saut : le décès d’un proche, un accident de vie etc… Tant que nous restons dans un relatif confort, difficile de changer. Peu sautent du bateau avant d’être sûr qu’il va couler. Bravo à Céline ! Pourtant rester dans une vie qui ne nous convient pas est coûteux à la longue. Attention burn out en vue ! C’est pourquoi j’accompagne les personnes qui ont vécu un burn out à le considérer comme une opportunité de se créer une vie plus alignée avec soi. Et faire ce changement qu’ils n’arrivaient pas à faire.
Hello Astrid ! Je suis l’auteur de l’article et je rebondis sur ton commentaire. C’est tout à fait vrai, nous attendons souvent un élément déclencheur « douloureux » pour prendre le risque de changer. Mais encore faut-il alors arriver à le faire tout en se relevant de cette crise, a fortiori quand c’est un burn out !
C’est pourquoi je pense également que nous devrions être plus proactifs et changer dès qu’on réalise que le bateau commence à prendre l’eau. Ou comme le dit très justement Tony Robbins dans une citation que j’ai commentée récemment sur mon blog : « Pour opérer de profonds changements dans votre vie, vous avez besoin d’inspiration ou de désespoir ». Pourquoi ne pas miser sur l’inspiration ? 😉
Merci Astrid pour ton retour et ce partage !! 😊
Bravo Nico ! Un super article qui parlera à chacun à franchir des étapes !
Une lecture très intéressante pour tous ! 😊
Merci Matthieu. Je suis l’auteur de cet article et s’il t’aide à franchir des étapes du changement, je suis comblé !
Oui oui Matthieu c’est un article invité qu’Alexandre a eu la gentillesse d’écrire pour mon blog 😊? C’est lui qu’il faut féliciter !
Merci pour cet article très complet. Il décrit bien toutes les phases par lesquelles on peut passer. J’ai aimé le conseil de bien choisir les personnes a qui on peut parler du futur projet. La négativité de proches peut vraiment être un boulet qui se nourrit de nos propres peurs et limitations. Se tourner vers ceux qui sont positifs/bienveillants va au contraire nous aider à avancer et à surpasser nos doutes.
Article à mettre dans les mains de tous ceux qui ont envie de changer de vie!
Merci pour ton retour et pour ta conclusion très sympa, Aude. 🙂
J’ai essayé d’être assez complet sur les phases de la prise de décision, c’est un sujet que je n’avais pas encore abordé sur mon blog et il m’a semblé que le blog de Nico sur la confiance était le meilleur endroit pour le faire à travers un article invité.
Oui, des fois, « mieux vaut être seul que mal accompagné » ! 😉
Merci pour ton partage Aude 😊
Bravo Alexandre pour ce très bel article, sur le fond comme sur la forme ! Je retiens qu’il faut parler, de ses projets, ses doutes, ses questionnements, pour sortir du dialogue intérieur, intéressant mais limitant. Qu’il est intéressant d’accepter ce moment pas forcément évident où ces questionnements peuvent nous remettre en cause dans ce que l’on a bâti jusqu’à présent, et le voir comme une opportunité de faire le point sur soi, notre vision de la vie et le rôle que l’on veut y jouer. Puis, à mesure que le projet prend forme, vient le temps de passer à l’action, en commençant par de petits pas, qui l’un après l’autre vont nous rapprocher de nos objectifs. Je retrouve le parcours que j’ai moi-même suivi, lorsque je me suis réorienté il y a quelques années… et une démarche que je partage à présent avec les personnes que je coache ! Bonne continuation !
Merci Gael pour ton retour sympa. Oui, c’est un très bon résumé de l’article ! Et je suis ravi de voir que cela te parle, a fortiori avec ton expérience sur le sujet. Au plaisir de te recroiser.
Merci Gael, pour ton partage et ce retour sur l’article d’Alex 😊
Oser changer de vie, c’est une thématique qui me parle particulièrement. Oser est vraiment le bon mot et c’est bien le problème de beaucoup de personnes. On reste dans un train train qui ne nous convient pas par sécurité, parce qu’on n’ose pas ! J’ai changé de vie plusieurs fois et c’est souvent mal vu, on me prend pour quelqu’un d’instable alors que je recherche surtout à trouver mon équilibre. Je pense qu’il faut en parler à son entourage mais qu’il faut surtout faire attention à ne pas se faire influencer. Les gens qui ont peur auront tendance à vouloir décourager ceux qui veulent oser ! Alors osons 😉
Hello Maëva ! Oui, je connais ton parcours pour être allé à de nombreuses reprises sur ton 1er blog. C’est effectivement un sujet que tu dois maîtriser sur le bout des doigts ! Et tu as raison, changer une fois est déjà souvent mal compris par une partie de son entourage, alors changer plusieurs fois, tu dois vite te retrouver avec une étiquette ! 😂 Pour moi, tu es une serial oseuse, et c’est un compliment !
Effectivement tu as raison Maeva, il faut savoir s’écouter et oser affronter ses peurs pour vivre SA VIE ! Merci pour ton commentaire 😊
Le changement de vie radical peut être un raz de marée dans sa vie et celle de ses proches. Bien l’anticiper, et l’amener comme tu en parles est super important.
Ne pas en parler n’importe comment et à n’importe qui aussi…
De toutes façons, aujourd’hui changer de vie semble assez inévitable non?
C’est une bonne question, ça, Yseult ! J’aurais tendance à être d’accord avec toi, mais force est de constater que les changements de vie restent assez minoritaires. Soit parce que les gens ne réalisent pas qu’ils ne sont pas pleinement heureux, soit parce qu’ils ont peur du raz-de-marée que tu décris.
Mais comme je l’ai écrit, je pense sincèrement qu’en le préparant et en l’abordant par petits pas, on limite grandement le risque d’entraîner ses proches dans une galère.
Et puis, on est pas obligé d’opter pour un changement de vie radical : on peut se « contenter » de changer de région, de poste ou d’entreprise, une chose à la fois.
PS : maintenant, tu sais quel est l’article invité qui m’a retenu de participer à ton carnaval 😉
Personnellement j’aime bien considéré les « crises » ou les « accidents de la vie » comme des signes ou des opportunités… ça m’aide à relativiser ! Merci pour ton partage Yseult ! 😊
Cela passe par prendre une décision (pas forcément irréversible) puis se mettre dans l’action. Moi, c’est ma décision pour commencer la formation Olivier Roland pour devenir indépendant.
Ca me semble être un bon début, ça, Rodney ! 😉 C’est en tous cas comme ça que j’ai commencé aussi. Enfin, après avoir pris la première décision importante de prendre un congé sabbatique.
Plein de belles choses dans cette nouvelle aventure !
Le tout est d’en avoir conscience et de savoir (d’oser) s’écouter !! Merci pour ton partage Rodney 😊
Super article ; il est effectivement important de passer par toutes les étapes proposées pour ne pas agir sur un coup de tête et le regretter ensuite. J’ai déjà vécu 3 grands changements de vie et chacun m’a apporté une telle richesse intérieure : nouveaux apprentissages, belles rencontres avec des tas de gens différents, nouveaux horizons. Vraiment je suis heureuse de mes choix, j’ai eu la chance d’être soutenue et même encouragée par mon mari 🙂 Alors faites-vous confiance et osez changer de vie !
Merci pour ce retour, Christine ! Je suis l’auteur de l’article et votre témoignage m’est précieux. Je suis persuadé qu’être soutenu est un vrai « plus » (c’est également mon cas, mon épouse m’a encouragé dans ma démarche et sans son soutien, je ne suis pas sûr que je me serais lancé). Malheureusement certains doivent faire sans. C’est d’autant plus appréciable !
Tout à fait d’accord avec toi Christine sur ta conclusion. La vie rêvée passe par la confiance en soi. En être convaincu permet de se réaliser. Merci pour ce partage 😊
Bonjour Nico et Alexandre,
Quel article: dense mais agréable à lire et vraiment bien mené. J’ai apprécié autant le fond que la forme! Et bien sûr, les solutions concrètes pour se lancer pas à pas, sans brûler les étapes, mais en passant à l’action. Un beau point de départ d’une réflexion plus vaste. merci!
Merci beaucoup, Mirentxu ! 🙂
Merci de ce retour Mirentxu, mais c’est surtout Alex qu’il faut féliciter 😊
Merci Nico, pour cet article très inspirant.
En effet, un changement de vie se prépare tant dans la tête, que dans les actions, et c’est un véritable tremplin pour un regard neuf et frais sur la vie, mais aussi pour découvrir nos potentiels cachés.
De mon côté, j’étais de moins en moins heureuse et épanouie en tant que prof dans l’éducation nationale. Alors, voilà que le changement est bien amorcé, je passe par un bon nombre de points et de suggestions d’actions que tu mentionnes dans ton article:
– je viens de changer de pays et de déménager au Canada
– j’ai pu obtenir une année de disponibilité de mon travail
– j’ai repris des formations pour renouer avec mes rêves d’enfance (des formations en illustration et design graphique)
– j’ai commencé un tenir un blog grâce à une autre formation (Blogueur Pro d’Olivier Roland)
– je tente le free-lance
J’avoue que toutes les étapes ne sont pas toujours faciles, et que parfois on est face à ses demons intérieurs, mais je constate aussi à quel point la vie nous aide pour réaliser ce qui nous tient à cœur et qui nous rend plus vivants!
Merci encore pour cet article, qui, j’espère donnera du courage et de l’inspiration à beaucoup de personnes.
Merci beaucoup pour ce retour, Stella. Je suis l’auteur de l’article et s’il vous inspire alors que vous avez déjà amorcé votre changement, je le prends comme un beau compliment ! 🙂
Et effectivement, non ce n’est pas facile et oui, on doute souvent. Mais lorsqu’on n’était plus heureux dans sa vie (dans son métier ou autre), je suis persuadé que c’est un risque à prendre pour ne pas avoir de regrets et vivre pleinement les années qu’il nous reste !
Merci pour ton partage Stella !! 😊
Cet article est top. Lorsque j’ai quitté mon CDI pour devenir freelance, mes collègues ont tous essayé de me décourager en me disant que c’était trop risqué. Ils étaient dans l’entreprise depuis 10/20 ans et détestaient leur emploi. Mais pourtant, ils ne partiront jamais car ils ont peur.
Merci Marie. Je suis l’auteur de l’article et je ne suis malheureusement pas trop surpris par votre retour… effectivement, une majorité des personnes concernées ne feront rien parce qu’elles ont peur ou qu’elles n’ont pas assez de motivation. Après, leur réaction n’était probablement pas mal intentionnée, mais elle ne pouvait pas vous aider.
Merci pour ce partage Marie ! 😊
Hello Nico,
Dans de nombreux domaines, il faut pouvoir sortir de sa zone de confort pour augmenter ses résultats. Si on ressent un manque au niveau de l’épanouissement personnel, cela peut en être la traduction.
Du coup, il FAUT sortir de sa zone de confort et, peut-être, remettre en question sa belle carrière.
Tu parles d’exprimer ses sentiments, c’est toujours important pour pouvoir se sentir mieux. Dans le cas présent, c’est encore plus important.
Il faut trouver un sens à sa vie avant de se rendre compte qu’on n’a pas fait ceci ou cela….
Comme toi, Nico et BRAVO pour ta mission. Elle est très noble.
Merci Katja & Thierry. Je suis l’auteur de l’article et je trouve votre commentaire intéressant car contre-intuitif au départ ! 😉 En effet, pour améliorer ses résultats, on va généralement avoir tendance à répéter ce que l’on sait déjà faire encore et encore, jusqu’à atteindre la perfection (comme des gammes au piano). Donc en fait à rester dans sa zone de confort !
Mais c’est vrai que quand on voudra franchir un palier, accéder à un autre niveau de maîtrise, il faudra accepter de tester « autre chose » (une autre technique, un autre coach, un nouvel environnement…).
Et quand on parle d’épanouissement personnel, difficile de penser que des « gammes » vont faire l’affaire. Donc oui, mille fois oui, sortons de notre zone de confort ! 😃
Merci pour votre retour à tous les deux mais une fois n’est pas coutume j’ai laissé la place pour cet article à Alexandre. Tout le mérite lui revient ! 😊 Merci pour votre retour en tous cas !
Bonjour Alex,
Beaucoup de gens ont envie de changer de vie mais ont du mal à poser les choses comme un véritable projet. Elles y pensent de temps en temps sans réellement mettre en place un plan d’action. Un changement de vie ça se prépare. Il est aussi essentiel de choisir les bonnes personnes pour en parler. Elles vous encourageront et seront bienveillantes. Aucun intérêt d’en parler aux personnes qui seront négatives.
Merci pour cet article
Exactement, Luc ! Je suis convaincu que changer de vie, ça se prépare comme une grande réception familiale (bon, en ce moment…) ou un grand voyage en famille (ah ben tiens, ça non plus !). Et à un moment, quand on se sent prêt, il faut passer à l’action sous peine de ne faire qu’en parler. Merci pour ton commentaire.
Merci pour ce retour Luc ! 😊
Un plan qui se déroule sans accroc, ça n’existe pas. Mieux vaut le savoir. Mieux vaut savoir aussi que c’est grâce aux accrocs qu’on apprend quelque chose d’intéressant. Changer de vie n’est pas une sinécure. Parfois, on n’a pas le choix. Il faut changer, se tirer de là vite fait. Parfois, il faut juste se retrouver soi-même. Et tant pis pour les risques. Ou tant mieux. Une dose d’adrénaline n’a jamais fait de mal à personne.
Moi, j’ai l’impression d’avoir connu plein de plans qui se sont déroulés sans accroc ! 😉 Au boulot, pour préparer mon mariage… après, c’est probablement un abus de langage, tout dépend en fait de ce qu’on considère comme un accroc ! Et quand le résultat final est à la hauteur des espérances, on a tendance à oublier tout ce qui ne s’est pas exactement passé comme prévu.
Je te rejoins pour dire qu’un vrai bon gros accroc, celui qui te fait dire « je ne suis pas content », qui t’empêche d’avancer comme prévu et que tu n’oublieras pas (celui-là) est une occasion d’apprendre. Et c’est clairement une qualité de savoir prendre la vie comme ça ! 😃
Merci pour ce partage Vie ! 😊
Merci pour cet article !
J’avais deux travails différents. L’un que je faisais encore parce que le salaire était stable. Et c’est finalement un burn-out qui a tranché pour moi et m’a fait arrêter ce dernier.
Parfois, c’est notre vie qui tranche pour nous et qui nous permet de réellement sauter le pas 🙂
Et merci pour votre commentaire, Nath ! Je suis l’auteur de l’article et je ne peux que vous donner raison.
Tony Robbins a dit : « Pour opérer de profonds changements dans votre vie, vous avez besoin d’inspiration ou de désespoir ». Parfois, la vie nous emmène vers le désespoir et c’est là que l’on trouve le déclic pour engager vraiment le changement. On n’a alors souvent pas le choix, mais ce n’est pas plus facile pour autant.
Dans cet article, j’essaie d’encourager les gens à écouter la petite voix de l’inspiration ! 😉
Les « accidents de la vie » ont au moins ce mérite ! Merci pour ton partage Nath 😊
Parfois le changement est une question de survie. C’est parfois incompréhensible vu de l’extérieur, mais à l’intérieur, les tensions sont tellement intenses que la seule solution est de changer !! Merci pour cet article !
Tout à fait, Anne-Christine ! On ne choisit pas toujours, ça rejoint pour moi la notion de désespoir de la citation de Tony Robbins à laquelle je me référais déjà dans le précédent commentaire : “Pour opérer de profonds changements dans votre vie, vous avez besoin d’inspiration ou de désespoir”.
Merci pour cette réflexion Anne-Christine 😊
Je me retrouve exactement dans cet article. J’ai un poste envié par de nombreux étudiants dans mon domaine et très difficile d’accès. C’est exactement le métier que je visais pendant mes études. J’ai une bonne rémunération.
Pourtant ce métier ne m’inspire plus, j’en ai fait le tour et j’ai envie de changer. Mais comment se plaindre d’avoir une situation enviée par tant de gens?
Merci pour ton retour, Mathieu. Je suis l’auteur de l’article et ton témoignage correspond, je pense, à ce que de très nombreuses personnes se disent. Et je peux te dire que moi-même, je me suis longtemps demandé si j’étais « légitime » pour changer de vie.
Mais je suis aujourd’hui persuadé que la réponse est 1000 fois oui ! Ce qui compte, ce n’est pas si notre ancien poste est intéressant (d’une façon ou d’une autre), mais si nous nous y plaisons, si nous avons l’impression qu’il nous apporte du sens.
Si ce n’est pas le cas, autant trouver quelque chose qui nous convient mieux et laisser cette place convoitée à quelqu’un d’autre, en plus on fera un heureux ! 🙂
Merci pour ce partage qui tranche Mathieu ! Oser, oser, et écouter son fort intérieur voilà la voie 😊
merci pour cet article Alexandre, je retrouve tous les ingrédients qui ont fait partie de mon changement de vie. En effet, oser changer, oser partir, fait peur à beaucoup de gens, et ceux qui osent sont vus comme ceux qui ont le « courage ». lorsque j’explique mon parcours de changement de carrière professionnelle et changement de vie, ce mot « courage » revient très souvent. pour moi, c’était une nécessité, comme je l’explique dans la chronique qui raconte mon parcours. Personnellement, j’ai pu bénéficier d’une rupture conventionnelle, toute neuve en 2020 pour les fonctionnaires. Le truc que je pourrais donner à Céline (et que je donne justement dans mon dernier article 😉) : as-tu mesuré le coût de ton inaction ? Que se passera-t-il si tu ne changes rien ?
Avec plaisir, Caroline ! 🙂
Oui, c’est assez « marrant », je pense qu’on a absolument pas l’impression de faire un acte courageux, surtout quand on change par nécessité. Pourtant, avec un peu de recul, nous avons le courage de vouloir vivre nos rêves et ce n’est pas encore si fréquent.
Mesurer le coût de l’inaction, c’est un excellent conseil, effectivement ! J’oriente de ce pas Céline vers ton dernier article. 😉
Super article, cela change de lire un article qui n’est pas de notre cher Nico ! Très inspirant, un article sur le changement qui vient à point pour moi. Merci
Merci pour ton retour enthousiaste, Yanis !
Bon, j’espère que tu n’en retrouveras Nico qu’avec plus d’enthousiasme pour son prochain article ! 😉
Si tu es à la veille d’un grand changement, n’hésite pas à passer faire un tour sur mon blog, tu y trouveras plusieurs ressources qui pourraient t’être utile. Bon courage à toi !
On essaiera de maintenir ce niveau de positivisme ! 😊😊
Salut ! Merci pour cet article. J’ai franchi le pas il y a 4 ans et en ce qui me concerne à un moment donné c’est devenu une évidence, pas l’ombre d’un doute, pas d’hésitation. Le grand saut ! Ce qui me semble être le plus important c’est d’assumer ses choix et alors c’est ok. J’ai tatonné au début et puis quand ça a été clair, je me suis lancée dans l’aventure blogueur pro sur un thème qui est une niche, Je n’avance pas vite, je n’ai pas beaucoup d’inscrits, j’ai épuisé mes droits pôle emploi, je n’ai pas fini de payer ma maison, mais je n’ai pas l’ombre d’un regret c’est cette vie qui m’appelle !
Wow ! Quel message Isabelle ! Effectivement c’est un sacré saut ! Bravo d’avoir à oser vivre vos rêves !! 😊😊
Merci pour votre retour, Isabelle. Comme je l’indique dans l’article, je pense qu’il est rare de ne pas hésiter. Votre témoignage n’est donc que plus précieux ! 🙂
C’est génial quand on vit cela comme une évidence et que l’on a pas l’ombre d’un regret, bravo pour vous être écoutée.
Bonjour Nicolas, merci beaucoup pour cet article. Je suis toujours aussi captivée par le choix de vos thèmes. Ils me motivent et me donnent envie de passer à l’action. Vous êtes une belle source d’inspiration 🙂 Bonne continuation
Merci beaucoup pour ce retour Sarah, même si tout le mérite en vient à Alexandre du blog « 11 mois pour changer » 🙂
Content de voir que l’article vous a plu, sarah ! Merci pour votre retour. 🙂